Ce programme parodique et légèrement érotique traite de manière ironique et amusante tous les clichés des films de Samuraïs et des dessins animés de combats.

Il y a plus d’un siècle, la famille Aoi qui dirigeait l’ère Edo au Japon fut renversée par un gouvernement révolutionnaire. Mais les survivants se réfugièrent en Russie et créèrent dans la steppe une cité-état secrète dénommée "Labyrinth IV".
De nos jours, la descendante des Aoi décide de refuser le mari que son père lui a choisi et lui préfère Garlan, une espèce de fan des Samuraïs. Il en est tellement fou furieux qu’il prétend en être un !

Labyrinth of flammes consiste en 2 oav de 30’, qui mis bout-à-bout, font un film de 60’ (et pas 90’ comme il est indiqué sur la jaquette).
Ce sont des aventures délirantes, rigolotes et légèrement érotiques. Labyrinth est une production du Studio Fantasia et ça se voit tout de suite : les plans sur les petites culottes sont nombreux.
Mais contrairement à Aika où ça devenait lourd, Labyrinth of flammes, grâce à sa courte durée et son rythme effréné est très distrayant.
Maintenant, c’est à vous de voir le prix que vous êtes prêts à mettre pour 2 oav humoristiquo-érotiques de 30’ et quelques bonus insignifiants.

Guillaume Chometon (12 Novembre 2003 à 18:07) :
Déjà pour mieux comprendre le contenu de Honoo No Labyrinth, il vaut mieux savoir qu'il s'agit de la nouvelle oeuvre des créateurs de la série d'OAV Agent Aika. Il s'agit donc du même réalisateur (Nishuma Katsuhiko) et du même studio (Fantasia). Ces derniers ont repris les mêmes éléments qui avaient fait le succès de cette précédente série. En gros: de l'action, de l'humour et des petites culottes à outrance. Néanmoins, le thème de Honoo No Labyrinth ou en tout cas son traitement, est beaucoup moins sérieux que dans Agent Aika. Cette série présente une brochette de personnages complètement délirants, certes artificiels, mais franchement poilants, qui se retrouvent entraînés dans une histoire, qui a finalement peu d'importance. Mention spécial pour le "héros" de l'histoire, à mi-chemin entre un Ryô Saeba et un Son Goku (!), qui est vraiment bien trouvé. Techniquement, le character design semble avoir été légèrement simplifié par rapport à Agent Aika, mais celui-ci reste tout a fait convenable. L'animation est de qualité relativement supérieur pour une OAV.