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Cosmo Warrior Zero
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La Jeunesse d'Albator Vol.1/5
Critique de Mazinga, le Mardi 13 Août 2002 à 13:48
Staff TechniqueOeuvre orig. : Leiji Matsumoto Producteur : Keisuke Nishioka Directeur : Kiyotaka Isako Scénario : Keisuke Nishioka Chara. Design original : Leiji Matsumoto Chara. design : Keisuke Masunaga Dir. artistique : Keisuke Masunaga Dir. animation : Hirokazu Maruyama
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Fiche de l'animé
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Science-Fiction
Durée : 1h20mn.
Année de prod. : 2001
Produit par : Vega EntertainmentEnoki Films
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe)
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Support : DVD-5 (1 face/1 couche) Boitier : Digipack Disponibilité : Disponible Editeur : Kaze
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Bonus/Goodies : Galerie d'images, Bandes-annonces
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Présentation |
Au XXXième siècle l'humanité a largement exploré les confins de l'univers. Un jour des humanoïdes cruels et immortels apparaissent sur terre et réussissent rapidement à en prendre le contrôle. Certains hommes décident de quitter la planète bleue alors que la majorité se soumet à l'autorité des robots. Warius Zero, qui commandait une division des forces armées terrestres lors de la "Grande Guerre Spatiale", a vécu cette défaite comme un échec personnel qui marquera son âme à jamais...
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1. Le Grand Départ : Warius Zero se retrouve muté sur un vaisseau de seconde classe et est à deux doigts d'en quitter le commandement quand il croise un pirate de l'espace, un certain Captain Harlock. L'éradication des pirates de l'espace est une des clés de la fragile entente entre humains et humanoïdes. Aussi, il relève le défi de l'affronter...
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2. L'influence de Marina : A bord de son puissant vaisseau, le Karyu, la vie s'organise... aux dépens des humanoïdes qui se voient contraints par les humains d'exécuter les basses besognes. La tension monte entre les deux camps. Marina, la capitaine qui seconde Warius Zero tente de rétablir l'ordre mais déjà une mutinerie s'organise...
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3. Les flammes du Karyu : Le Karyu poursuit son objectif, mettre à bas Harlock et son équipage. Pour ce faire, Marina multiplie les exercices et autres alertes afin de mobiliser ses troupes. Le commandant intercepte un message de détresse : une base spatiale est attaquée par des pirates... |
Image |
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Comme on pouvait l'espérer, l'image est impeccable. En effet, la série date de l'année dernière seulement et les masters sont de qualité irréprochable, à peine peut-on signaler une luminosité un peu trop appuyée. La compression ne pose, elle non plus, aucun souci.
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Son |
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L'unique piste audio présente nous est offerte en Dolby Digital Stéréo dans sa version originale. Elle a du répondant même si les effets ne sont pas si nombreux.
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Interactivité |
| | Packaging |
A la fois simple et jolis, les menus de Cosmo Warrior Zero sont très agréables. Le menu principal reprend la douce musique d'intro et nous offre le choix soit de visionner l'ensemble des épisodes à la suite soit d'utiliser le chapitrage.
Question bonus, c'est assez maigre. On a droit à une galerie de 14 images, à la fois belles et trop petites, qui défilent automatiquement. Et la classique section des bandes-annonces qui propose les derniers titres du catalogue de l'éditeur.
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Bilan artistique |
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L'animation n'est pas la principale qualité de cette série. Le réalisateur, Kiyotaka Isako, multiplie les travellings et plans fixes pour ne pas donner trop de travail à ses animateurs et ceci à pour effet de ralentir un peu le rythme. L'usage de la 3D concerne principalement l'animation des vaisseaux et dans l'ensemble apporte un réel plus. La grosse satisfaction vient du chara-design qui comme à chaque fois dans une production Matsumoto nous éblouit. On sent en plus qu'un travail important a été fourni au niveau des couleurs et le résultat final est vraiment réussi.
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© Leiji Matsumoto / Enoki Films
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Joe Gillian (21 Janvier 2004 à 09:48) : Ce premier volume des aventures de Zero est assez prometteur. Cependant, force est de constater que ça commence assez lentement. Comme le souligne Mazinga, on sent un potentiel énorme sur ce titre où plane bien entendu l'ombre de notre célèbre Harlock. Par contre, il est clair que les moyens étaient limités : si le chara-design est très beau, l'animation est des plus limitée, voir franchement mauvaise par moments. Cependant, on reste pour l'instant accroché à cette histoire qui débute tranquilement, mais sûrement.
Au niveau dvd, Kaze a réalisé une édition simple sans fioritures, de qualité correcte. L'image est assez belle, malgré quelques fourmillements lors de certains scrollings et la piste sonore est très correcte, sans être extraordinaire non plus.
Des débuts corrects pour une série qui s'annonce très intéressante.
Nota : pour une conclusion générale de la série, voir mon avis sur le volume 5.
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Matériel utilisé pour le test :
Lecteur DVD Pioneer DV-444
TV 55cm Sony
Chaîne HiFi Stéréo Sony |
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Packaging |
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