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Gene Shaft
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Vol. 2/3
Critique de Algol, le Mercredi 11 Février 2004 à 14:30
Staff Technique
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Fiche de l'animéPublic : 14+
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Science-Fiction
Durée : 4 x 24 minutes
Année de prod. : 2001
Produit par : SatelightStudio GazelleBandai VisualDentsu
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe)
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Support : DVD-9 (1 face/2 couches) Disponibilité : Disponible (29/01/2004) Editeur : Beez Entertainment
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Bonus/Goodies : Fiches personnages
Génériques sans crédits
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Episode 5: L'ange et le vaisseau : Alors que Tiki effectue des tests à bord du Shaft, un petit anneau fait son apparition et pénètre à l'intérieur du robot. Lorsque le Shaft rentre à bord du Bilkis, Tiki a un comportement étrange. Quelques instants plus tard, Mika la trouve inanimée dans le cockpit. Et bientôt, le système informatique du Bilkis se retrouve parasité par un étrange virus…
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Episode 6: La ligne rouge d'autrefois : Le Bilkis reçoit un étrange signal de détresse qui ressemble à ceux qui étaient utilisés au cours du 21ème siècle. Bientôt apparait sur l'écran une navette spatiale que le capitaine Amagiwa ordonne de récupérer. A son bord se trouvent trois hommes qui leur expliquent qu'ils ont rencontré un anneau alors qu'ils effectuaient une mission de ravitaillement…
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Episode 7: Le monde de la bague : Le Bilkis doit faire face à un nouvel anneau. C'est à nouveau Mika qui est choisie pour piloter le Shaft, avec cette fois Mir en soutien, au grand dam de cette dernière. Mais le programme du Shaft connait à nouveau des problèmes en plein milieu de la bataille. Soudain, alors que les choses tournent mal, le Shaft exécute un tout nouveau programme d'attaque et détruit l'anneau…
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Episode 8: La Lune, empereur des ténèbres sans merci : Tout va mal pour les membres de l'équipage du Bilkis: ils ont été déclarés hors-la loi par le gouvernement et ils ne peuvent se poser sur Ganymède. De plus, une flotte est en route pour détruire le vaisseau et des anneaux sont à leur poursuite. Et pour couronner le tout, ils apprennent qu'il y a un traître parmi eux. Comment vont-ils se sortir de cette délicate situation?
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Image |
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On retrouve les qualités et défauts déjà remarqués sur le précédent volume, à savoir d'un côté une luminosité et une définition excellentes, un contraste bien ajusté, des couleurs vives, et l'absence d'effets arc-en-cie, et de l'autre du bruit vidéo, voire de postérisation sur les aplats sombres, ainsi que de l'aliasing plus ou moins marqué selon les scènes. Mais l'ensemble reste plus que correct.
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Son |
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La seule piste présente sur ce DVD est un excellent Dolby Digital stéréo très pêchu, avec une belle spatialisation et quelques effets bien sentis. Il met particulièrement bien en valeur les musiques très rythmées qui soutiennent les scènes d'action. L'équilibre entre voix et musiques est excellent.
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Interactivité |
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Menus
Les menus, au design sympa sans être extraordinaire, sont clairs et fonctionnels. Ils sont tous accompagnés d'extraits musicaux différents, avec en prime des extraits de la série en toile de fond pour le menu principal. Celui-ci, précédé d'une brève introduction que l'on ne peut écourter, permet de lancer la lecture en continu et d'accéder au chapitrage, aux versions et aux bonus. Le passage d'un menu à l'autre se fait instantanément.
Versions
Ce menu permet d'activer ou non les sous-titres, opération qui peut également se faire à l'aide de la télécommande.
Chapitrage
Ce menu présente les quatre épisodes, identifiés par une petite vignette animée. Lorsque l'on sélectionne l'un d'entre eux, on arrive à un second menu qui permet lui de choisir l'un des cinq chapitres découpant l'épisode: générique de début, première partie, deuxième partie, générique de fin, preview de l'épisode suivant.
Bandes-annonces
L'éditeur nous propose les trailers japonais de .hack//SIGN et de Yukikaze.
Bonus
On retrouve en bonus sur ce DVD:
de brèves fiches de présentation des personnages principaux;
les deux génériques sans crédits.
Packaging
Le disque, dont la sérigraphie sobre est dans les mêmes tons que la jaquette, est logé dans un boitier transparent. La jaquette est biface, dans les tons verts. La face avant présente l'illustration que l'on a déjà pu voir sur le troisième volume de l'édition américaine, tandis que le dos nous offre un bref synopsis de l'histoire ainsi qu'un résumé des épisodes, avec en prime une capture d'écran pour chacun d'entre eux. L'intérieur de la jaquette est illustré de croquis de Mir et de Sergei.
Teasers |
Eyecatches |
Crédits |
Sous-titrage paroles génériques |
Présents |
Présents |
Japonais |
Français |
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Ces quatre nouveaux épisodes marquent une progression rapide du fil conducteur de l'histoire, avec la révélation du véritable rôle joué par Sergei. Dans le même temps, Akane continue son exploration des grands thèmes de la science-fiction, comme par exemple dans l'épisode six. On y aborde l'un des concepts les plus exploités du genre, celui du voyage temporel, et par la même occasion, on y découvre la situation typique engendrée par la rencontre de deux civilisations qui ne connaissent pas grand-chose l'une de l'autre: préjugés, mépris de l'autre, affirmation de sa propre supériorité... Mais alors que la SF présente souvent des rencontres entre humains et aliens, les sociétés ici confrontées sont toutes deux humaines. Mais cela ne change rien: chacun des deux camps juge l'autre à l'aune de ses propres valeurs, ce qui ne peut résulter qu'en de l'incompréhension...
Avec le septième épisode, qui est le pivot de l'histoire, on commence à entrevoir la vraie nature de Sergei et de son plan. Les rivalités existent toujours sur le Bilkis, mais les événements vont forcer l'équipage à se serrer les coudes afin de faire face à une menace des plus sérieuses... que l'on découvrira dans le dernier volume!
Côté personnages, par contre, il y a peu d'évolution: ils restent fort stéréotypés et seule Remmy semble tirer son épingle du jeu et prendre une dimension supplémentaire.
Au niveau de l'édition elle-même, Beez poursuit sur sa bonne lancée avec un DVD semblable au précédent, si ce n'est l'ajout des génériques sans crédits au niveau des bonus.
Mon avis: ces quatre nouveaux épisodes confirment que Geneshaft est une bonne série de science-fiction, au scénario solide à défaut d'être profondément original, et à la réalisation soignée. Cela reste excellent d'un point de vue visuel et certaines scènes sont vraiment impressionnantes! Vivement la fin (avec l'artbox et le dossier!), surtout que ce deuxième volume se termine en plein suspense!
Si vous avez aimé ce DVD, vous aimerez sans doute aussi:
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Vandread
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Matériel utilisé pour le test :
Lecteur DVD Atex DVD-
Téléviseur 29" Hitachi
Ampli Pioneer VSX-D511
Enceintes ALR Jordan Entry 2M SE
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© SATELIGHT/BANDAI VISUAL · DENTSU
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Packaging |
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