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Dragon Ball
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Z - Dragon Box 1
Critique de Yann Mermet, le Mercredi 11 Juin 2003 à 16:15
Staff TechniqueOeuvre orig. : Akira Toriyama Réalisation : Daisuke Nishio Scénario : Takao Koyam Chara. design : Yuuji Ikeda Décors : Ken Tokushige Dir. animation : Minoru Maeda Musique : Shunsuke Kikichi Acteurs : Goku, Gohan : Masako Nozawa Vegeta : Ryo Horikawa Piccolo : Toshio Furukawa Krillin, Yajirobe : Mayumi Tanaka Bulma : Hiromi Tsuru Trunks : Takeshi Kusao Kaio, Narrateur : Joji Yanami Yamcha : Toru Furuya Ten Shin Han : Hirotaka Suzuoki Chaoz : Hiroki Emori Kame Sennin : Kohei Miyauchi Freezer : Ryusei Nakao Oolong : Naoki Tatsuta Kami-Sama : Takeshi Aono
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Fiche de l'animéPublic : 12+
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Combat
Durée : 25 min x 147 épisodes
Année de prod. : 1989-1996
Produit par : Tôei Dôga
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Japon)
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Vidéo : 9Mbs Audio : 384kbs Support : DVD-9 (1 face/2 couches) Disponibilité : Disponible (19/03/2003) Editeur : Tôei Japan
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Bonus/Goodies : - Clip 3D
- Spots TV publicitaires de produits dérivés
- Extraits internationnaux
- Génériques sans crédits
- Téléfilm Baddack + Bande annonce
- Art book
- Figurine (First Press)
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Prélude : "A journey that began long ago, in a place neither near nor far…
A story of heroes, passed down through the ages…
Until now. This is our story. These are our heroes."
Cette série, tirée du manga d'Akira Toriyama, fait suite à une autre intitulée Dragon Ball (153 épisodes) et reprend le récit des aventures de Son Goku et de ses amis désormais devenus adulte. Le Z (Zeta en japonais) est accolé au titre pour en témoinger.
Diffusée d'avril 1989 à janvier 1996 au Japon, elle totalise 291 épisodes de 25 minutes chacun.
Ce premier coffret (sur les deux prévus) contient les épisodes 1 à 147.
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Les Saiyans : Cinq années se sont écoulées depuis la défaite de Piccolo Jr en finale du 23ème Tournoi des Arts Martiaux, face à Son Goku.
Ce dernier et Chichi ont eu un fils, Son Gohan, maintenant âgé de quatre ans, qui, à première vue, ne présente pas les caractéristiques du peuple guerrier dont descend directement son père. Bien au contraire, il semble plutôt craintif dès qu’il se trouve isolé de sa mère, qui est en train de faire de lui un enfant gâté. Cependant, le jeune garçon est loin de n’avoir rien hérité des aptitudes de son père et, même inconsciemment, son instinct de survie laisse transparaître une force incommensurable.
Un beau jour, Son Goku décide d’aller revoir ses amis chez Tortue Géniale et, par la même occasion, de leur présenter son fils. Mais les retrouvailles sont interrompues par l’arrivée d’un guerrier redoutable, Raditz, se présentant comme l’un des derniers guerriers de l’espace, dont Goku fait lui aussi partie. Raditz désire qu’il se joigne aux survivants de son espèce, ce que Son Goku refuse. Par la force, il enlève Son Gohan et lance un ultimatum à son frère pour qu’il revienne sur sa décision. Goku s’allie alors avec son rival Piccolo pour affronter le guerrier, dont ils viennent à bout non sans mal : Son Goku y laissera sa vie. Cette victoire semble même inutile puisque, avant de succomber, Raditz a annoncé l’arrivée dans un an jour pour jour de deux autres Saiyajins encore plus puissants.
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Saga Freezer : L’affrontement contre les Saiyajins a causé des dégâts considérables sur Terre et le Tout- Puissant ayant péri en même temps que Piccolo, les boules de cristal ont elles aussi disparu, ne laissant aucun espoir de ressusciter les innombrables victimes du conflit.
Heureusement, il existe aussi des Dragon Balls sur la planète Namek, dont Piccolo est originaire. En attendant que Son Goku se remette de ses blessures, Gohan, Krillin et Bulma s’envolent pour cette planète. A peine sont-ils arrivés que la joie cède rapidement sa place à la stupeur, car des guerriers d’une force immense, à la solde du tyran Freezer, les ont précédés et sont déjà en possession de cinq d’entre elles. A cela s’ajoute la présence de Vegeta, lui aussi devancé par son chef, contre lequel il a décidé de se rebeller…
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Les Cyborgs : Freezer mort, les Terriens, et particulièrement nos héros, vont pouvoir enfin passer des jours paisibles. Son Goku n'est pas mort dans l'explosion de Namek, mais il n'a pas encore souhaité revenir sur Terre. Cependant, son retour ne doit pas tarder. Mais le jour prévu, un autre guerrier apparait sur Terre, Trunks. Venant du futur, il se présente à Goku comme le fils de Vegeta et de Bulma. Il annonce l'arrivée d'un danger imminent, les Cyborgs du Dr Guero, et la maladie prochaine de Goku à laquelle il succombera, s'il ne prend pas le médicament apporté...
Bien que ses révélations soient surprenantes, sa crédibilité est renforcée par la démonstration qu'il fait en se débarrassant de Freezer artificiellement reconstitué et de son père King Cold en quelques secondes...
Le jour annoncé, des Cyborgs apparaissent donc sur Terre, mais ce ne sont pas ceux qu'attendait Trunks. Le cours du futur aurait-il commencé à changer ?
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Baddack (Téléfilm) : Ce "spécial" nous raconte les dernières heures de la planète Vegeta vécues par Baddack, le père de Son Goku.
Consécutivement à un coup encaissé durant un combat, ce dernier devint victime de visions prémonitoires qui lui permirent de voir l’avenir de son fils, mais également la destruction prochaine de la race des Saiyans, et s’il fut impuissant face à Freezer, il mourut avec la satisfaction de savoir qu’il serait vengé quelques années plus tard…
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Comparatif Zone 2 Japon / Zone 2 France : Difficile de ne pas mettre en parallèle cette édition japonaise et les DVD disponibles sur notre marché, qui ne lui arrivent pas à la cheville.
Sachez que les échantillons pris sur les DVD d'AB Vidéo ne sont pas les pires et que la comparaison sur d'autres scènes est parfois beaucoup plus cruelle.
Donc, comme promis, la preuve par l'image...
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Image |
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Incroyable… une image débarrassée de tout points blanc ou autre artefact du même genre.
L’image a été remastérisée et il faut avouer que le résultat est tout simplement hallucinant. Le rendu est excellent et donne une seconde jeunesse à une série dont les premiers épisodes ont été diffusés en 1989. Les couleurs sont bien contrastées et à mille lieues des masters «délavés» qu'AB Vidéo utilise pour ses DVD, caractérisés par un bruit vidéo prononcé (preuve par l’image ci-dessus).
Le seul défaut qui subsiste réside dans la présence de légères oscillations de l’image, visibles surtout sur les plans fixes, mais hormis cela le résultat est irréprochable, proche de la qualité de l’édition DVD de Cobra. On peut remarquer une qualité légèrement moindre pour certains teasers ou résumés, avec notamment une luminosité pas toujours identique à celle du passage dans l’épisode.
L'encodage est évidemment parfait pour une édition particulièrement soignée de ce point de vue technique.
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Son |
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Egalement remastérisée, la bande sonore a cependant subi un lifting moins spectaculaire. On trouve sur cette édition uniquement une VO en mono d’origine encodée dans un DD 2:0 parfaitement net, même si un phénomène de saturation est décelable sur certains passages. Dommage, un DD stéréo aurait été un peu plus dynamique à n’en pas douter. Encore plus anecdotique, la présence de quelques craquements est parfois notable.
Il n’y a donc pas de sous-titres, ce qui constitue la plus grosse lacune de ce coffret. Il aurait été fantastique de disposer d’une traduction anglaise qui aurait rendu ce produit un peu plus international, alors que dans le cas présent ce choix affiche clairement le public ciblé et restreint à l’archipel nippon. Dommage, mais pour les fans de la série ce n’est qu’une demi-déception, tant la joie de retrouver ou de découvrir les voix originales est immense. Fini le temps où une VHS de quelques épisodes, d’une qualité sonore minée par le souffle et autres désagréments, représentait le summum de ce que l’on pouvait se procurer à la sauvette et avant la diffusion française. Désormais, on peut pleinement profiter de cette VO et bénéficier de voix tantôt semblables, tantôt totalement différentes de celles que l’on aurait pu imaginer pour tel ou tel personnage. Quelques exemples : tout d’abord la voix de Son Goku, très célèbre, alterne à merveille entre les passages où s’exposent sa gentillesse et sa naïveté et ceux où le sérieux et la détermination sont de rigueur, sans oublier des cris d’une intensité mémorable !
Le doubleur de Vegeta (tout comme son homologue francophone) fait preuve d’un ton arrogant et fier caractéristique du guerrier Saiyan (ses TERRIBLES "Supaaa Saiyajin" sont escellents !), Freezer possède une voix de "serpent" emplie de vice, celle de Krillin est un peu plus sérieuse et quant aux autres, on n'est jamais vraiment surpris malgré le fait d’avoir été conditionné par de multiples diffusions sur nos télévisions. Seule exception, Yajirobé, auquel pour ma part je n’arrive pas à me faire…
Le bonheur est total avec évidemment des dialogues plus crus, l’utilisation des vrais noms des attaques lors des combats ou leur prononciation bien plus convaincante qu’en VF : Goku hurlant «Kaioken» donne réellement des frissons…
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Interactivité |
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Les menus
Le menu contenant les épisodes est identique pour les 25 DVD. En forme de Scaouter (le radar situé sur l’œil gauche des Saiyans), il bénéficie d’une animation et de l’ambiance sonore du combat de Goku contre Vegeta sur le menu principal et de l’affrontement avec Freezer pour l’écran de choix des épisodes.
Depuis le menu principal, trois choix s’offrent à vous :
la lecture en continu des 6 (ou 5) épisodes avec génériques et previews de l’épisode suivant
la lecture en continu des épisodes sans les génériques et teasers
l’accès à un écran permettant d’atteindre l’épisode de son choix depuis son générique de début (vignettes avec des images fixes)
Hormis le fait que les épisodes ne sont pas chapitrés, l’authoring demeure excellent : chaque épisode est indexé en 5 parties (générique de début, début de l’épisode, seconde partie de l’épisode (eyes catches), générique de fin et teaser), et lorsque l’on opte pour la lecture d’un épisode particulier, on revient à l’écran de sélection une fois ce dernier terminé.
Les bonus
L’ensemble des bonus du coffret se trouve sur un DVD qui leur est entièrement consacré et qui porte leur nombre total des DVD à 26 unités.
Si l’introduction du DVD est similaire à celle de ceux contenant les épisodes, le menu est en revanche différent et bien plus sobre puisqu’il s’agit d’un simple écran fixe. Vous trouverez ci-dessous le détail des bonus:
Dragon Ball Z : Baddack (48 minutes)
Premier bonus et non des moindres, le premier téléfilm de la série qui retrace l’histoire du peuple des Saiyajins, juste avant son anéantissement quasi total par Freezer. Il est précédé par sa bande annonce TV.
Génériques sans crédits (5 minutes)
Il s’agit de la seconde variante du générique de début Chala Head Chala (celle avec Trunks) et du générique de fin Zenkaï Power, qui nous sont proposés sans crédits ni sous-titres.
Extraits internationaux (9 minutes 45)
Originale et amusante, cette section présente donc des extraits de diffusion TV de DBZ sur les différents continents. Sont donc représentés dans l’ordre : l’Espagne avec son générique de début tonitruant très fidèle à la VO, les USA avec une bande-annonce du combat entre Freezer et Goku bien dans le style local (on dirait que la voix off commente le lancement d’un match de catch…), la France avec un extrait peu convaincant et où l’on ne retrouve même pas les voix de Goku et des autres guerriers, l’Italie, la Chine, la Corée du Sud (avec des couleurs d’un genre douteux) et enfin le Portugal.
Si la bande sonore est bien entendu caractéristique du pays, on remarquera que la qualité vidéo (sans doute tirée dans la plupart des cas de VHS) varie énormément d’une région à l’autre et que l’extrait français n’est pas dans un très grand jour…
Clip spécial DBZ (3 minutes 05 / Stéréo)
Sans doute l’une des perles rares que renferme ce disque bonus…
Diffusé à l’origine en décembre 1993, ce clip musical est constitué de passages en images de synthèses, d’autres tirés de la série et de combinaisons images de synthèse et cellulos. Il met en scènes les héros ainsi que des ennemis dont Freezer et Cell. Pour ceux qui possèdent l’art book Dragon Ball Z Daizenshu TV animation part 2, on trouve d’ailleurs, à la fin de ce dernier, quelques images de cette vidéo.
Publicités (5 minutes 25 / Stéréo)
Autre supplément de premier choix, ce montage vidéo propose les publicités TV de divers produits dérivés, allant des gouttes pour les yeux quand on sort de la piscine aux jeux vidéo, en passant par les Cardass et le bureau de chambre pour mieux travailler à l’école !
Cette fabuleuse compilation fait la part belle aux jeux vidéo, qui figurent en force avec les promotions de DBZ III et DBZ Gaiden sur Famicom (Nes japonaise), DBZ Goku Hishouden et Goku Gekitouden sur GameBoy, DBZ Super Butoden 2, DBZ Super Goku Den 1 et 2, DBZ Hyper Dimension sur Super Famicom(Super Nintendo), DBZ Buu Yuu Retsuden sur Megadrive, DBZ Ultimate Battle 22 sur Playsation et DBZ Shinbutoden sur Sega Saturn !
Il en manque donc quelques-uns (peut-être à l’occasion du second box) mais il faut avouer que le plaisir procuré à chacun des visionnages est intense, avec l’effet de surprise en plus lors du premier...
Les bonus sont donc particulièrement riches, mais on n'en attendait pas moins pour une série qui a donné naissance à moult produits dérivés et autres à-côtés durant plus de 10 ans, et dont certains continuent de voir le jour aujourd’hui encore !
Les goodies
Ce premier coffret est livré avec deux goodies de choix :
L’art book
Présent dans le 7ème coffret, cet art book est d’un aspect similaire aux Dragon Daizenshu Card File 1 & 2 ou TV Animation part 3. Il s’agit donc d’un vrai art book avec une couverture souple et des pages en papier glacé. Il débute par de belles illustrations suivies du casting des personnages de la série, avec même un arbre des relations entre ces derniers. La suite est constituée d’une présentation des épisodes DVD par DVD, avec une double page pour chacun. Outre quelques images, diverses infos y sont précisées, telles que la date de première diffusion notamment.
Puis on trouve un entretien avec certains membres du staff, des frises qui font le parallèle entre la diffusion et d’autres événements contemporains au Japon, tels que la sorties de mangas ou jeux vidéo, les résultats de sondages sur la série ou la localisation des affrontements entre les personnages sur les épisodes, l'emplacement des histoires spécifiques à la version TV et enfin un descriptif des différents bonus du DVD qui leur est consacré.
Il constitue donc un gros plus au coffret, car non seulement il permet de s’y retrouver lorsque l’on cherche un passage en particulier, mais de plus il est magnifique et complète parfaitement ceux précédemment sortis.
La figurine
Cette édition, en principe réservée aux précommandes, est accompagnée d’une figurine exclusive de Son Goku produite par Kaiyodo. Elle d'une taille d’environ 14 cm, et certains éléments sont interchangeables et vous permettent notamment de la transformer en Super Saiyajin si vous préférez les blondinets aux yeux bleus…
Le packaging
Il faut avouer que de ce côté-là, le coffret est tout simplement bluffant…
Le box, jaune, présente un aspect très robuste (5mm d’épaisseur) et est très joliment illustré bien qu’assez sobre (mention particulière au Shenron).
A l’intérieur figurent 7 coffrets en carton épais qui renferment chacun 4 DVD, à l'exception du dernier qui en contient seulement 2 plus l’art book. Ils s’ouvrent à la manière d’un livre et l’intérieur en plastique orange maintient les disques avec des fixations semblables à celles des CD audio. Leurs tranches reconstituent un dessin représentant Goku une fois qu'ils sont rangés dans le box. Les illustrations des sérigraphies, magnifiques, reprennent quasiment tous les principaux intervenants de cette partie de la série et une fois retiré de son support, chaque DVD laisse apparaître une autre image de la série !
Difficile d’espérer mieux de ce packaging, qui fait du box un luxueux objet de collection.
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On m'aurait menti ? |
Compte tenu de la violence qui la caractérise, la série a du être parfois allégée de quelques scènes, plans ou autres éléments avant sa diffusion dans notre pays, avec même un second lifting entre deux diffusions (sans doute parce que les mœurs évoluent avec le temps…).
Première différence, et non des moindres, entre la version originale et la version diffusée chez nous, les génériques de début et de fin. Alors que les Japonais ont droit à deux génériques bien distincts (avec une variante des images de l’opening à partir de l’épisode 108), nous avons eu droit pour notre part à un montage d’extraits de la série sur lequel notre chère Ariane chantait un «remix techno» de la chanson qu’elle interprétait pour Dragon Ball. Il faisait également office de générique de fin en tout point identique, ce qui n’était effectivement pas très important car il était bien souvent coupé avant son terme, quand il n’était pas tout simplement supprimé lors des diffusions TV.
Seconde différence, les eye catches, marquant la pause publicitaire qui intervenait au milieu de l’épisode, sont inclus sur cette édition DVD. Ils sont composés de deux petites animations de Goku et Gohan enfant se terminant par un écran fixe avant et après la coupure. Assez sympa. On regrette cependant qu’ils n’aient pas été actualisés en fonction des épisodes.
Egalement inédits chez nous, les teasers, qui n’avaient pas échappé aux ciseaux aiguisés d'AB (sans doute en partie pour réduire les coûts du doublage), sont bel et bien présents. Ils interviennent après le générique de fin et se terminent par l’écran-titre du prochain épisode avec une légère variante : les boules de cristal en moins.
Au début de chaque épisode, on retrouve donc cet écran-titre, différent à chaque fois, mais qui à de quelques rares exceptions près, est simplement constitué d’un background auquel on a ajouté quelques boules de cristal et le dit titre en question.
Et pour finir, on peut également profiter grâce à ce coffret d’une version intégrale où est absente toute trace de censure ! Certaines scènes sont célèbres (le bras coupé de Ten Shin Han, la fin du combat Goku / Freezer ), d’autres moins (les coupures de plans et de certains passages sont passées plus inaperçues), mais en VO les épisodes durent bel et bien tous au moins 20 minutes (génériques non compris) !
En regardant les captures d’écran, ne vous étonnez donc pas si vous n’avez aucun souvenir de certaines images.
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Il est bel et bien là le collector Dragon Ball Z, et quel collector !
En dépit de la barrière de la langue, il faut avouer que j’ai été délibérément attiré par le charme de ce coffret. Objectivement, cette absence de sous-titres ne peut pas vraiment lui être reprochée, car le coffret ne s’adresse à l’origine qu’au marché nippon, et les acheteurs ne maîtrisant pas le japonais savent ainsi à quoi s’en tenir. Il n’est donc pas destiné à ceux qui ne connaissent pas la série ou dont l’attention à son égard n’est que limitée car pour se faire plaisir, une bonne connaissance du manga ou de la VF originale est à mon avis indispensable à défaut d’une maîtrise avancée du japonais.
Hormis cette lacune, on nous propose ici bel et bien le coffret dont on a toujours rêvé en tant que fan de la série, avec des épisodes bien évidemment complets, les génériques de début et de fin qui correspondent à ceux de la diffusion originale, les eye catches et teasers, et enfin des bonus dignes de ce nom. De plus, la qualité de l’image obtenue est inespérée et ainsi on redécouvre presque la série.
Outre les suppléments du disque prévu à cet effet, il ne faut pas oublier le fabuleux art book et le packaging d’une qualité incroyable et que l’on contemple presque à chaque fois avec rêve et admiration.
Le box contient donc les 147 premiers épisodes qui s’étalent de l’arrivée de Raditz au début de la lutte face à Cell. Il est donc consacré essentiellement aux affrontements contre les sbires de Freezer, dont le duel avec nos héros sur Namek occupe à lui seul plus de 4 DVD ! Même en VO, le rythme est un peu "coupé" par certains passages improvisés pour les besoins de la série et dont l’intérêt est moindre que le reste de l’histoire, tiré du manga (le détour le Bulma, Krillin et Gohan sur le chemin de Namek, la saga Garlic Jr…). A l’opposé, les moments mythiques semblent passer encore plus vite, bien évidemment, mais on a désormais l’avantage de ne plus avoir à attendre une semaine ou la fin des vacances pour en connaître la suite !
Alors certes, encore une fois, "cela reste du DBZ" comme diront certains, avec son lot de reproches mais il faut avouer que "l'amour rend aveugle" et lorsque l'on aime, tous ces défauts sont éclipsés par le bonheur que l'on ressent à chaque visionnage...
Un coffret absolument incroyable sur tous les points, même celui du prix malheureusement, et dont on attend la suite avec impatience et avec l’espoir d’être tout aussi surpris que je l’ai été pour cette première partie.
Où acheter les Dragon box ?
Beaucoup de personne se demande où est il possible de se procurer les fameuses Dragon Box.
Le meilleur moyen reste l’achat en ligne sur l’un des deux gros site japonais CDJapan ou Amazon.co.jp.
Si la seconde Dragon Box est encore en stock actuellement, ce n’est pas le cas de la première qui semble être en rupture.
Attention de tenir compte des frais de ports ainsi que des éventuels frais de douane qui peuvent rendre l’addition encore plus salée.
Autre possibilité, certaines boutiques françaises proposent les Box mais à un prix bien plus élevé que les 100 000 yens d’origine qu’il faut compter pour chaque coffret. Vous pouvez toujours tenter votre chance chez Junku à Paris par exemple.
Dans tous les cas, faites très attention de ne pas vous laisser abuser par les revendeurs qui proposent des coffrets de DVD soit disant japonais avec une version intégrale, des sous titres anglais et lisibles sur tous les lecteurs. Il s’agit de contrefaçons distribuées en toute illégalité pour lesquelles les vendeurs s’exposent à des poursuites pénales.
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Points Forts |
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Points Faibles |
+ VO intégrale avec eye catches et teasers
+ DVD Bonus
+ Image
+ Art book
+ Packaging fabuleux
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- Un son pas très dynamique
- Absence de sous-titres
- Le prix !!! |
Matériel utilisé pour le test :
Lecteur DVD Pioneer 454
TV 72 cm Philips
Home Cinema Sound System Philips MX756 |
© Bird Studio / Shueisha, Tôei animation
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