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Heat Guy J
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Volume 1
Critique de Algol, le Lundi 10 Février 2003 à 10:20
Staff Technique
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Fiche de l'animéPublic : 12+
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Action
Durée : 52 minutes
Année de prod. : 2002
Produit par : SatelightTBS
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Japon)
Format cinéma : 1.77
Format vidéo : 16/9 compatible 4/3 Couleur : NTSC Support : DVD-5 (1 face/1 couche) Boitier : Digipack Disponibilité : Disponible (25/01/2003) Editeur : Bandai Visual
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Bonus/Goodies : Générique sans crédits
Clip vidéo
Produits dérivés
Bandes-annonces
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Présentation |
Pour une introduction générale à la série, je vous recommande la lecture du mini-article de ViGo.
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1 - GUY :
Lorenzo Leonelli, le chef du clan Leonelli, vient de mourir, et c'est son fils Clair qui est pressenti pour prendre sa place à la tête du clan. Mais Clair est un garçon très instable, et les autorités ont peur qu'il ne déclenche une nouvelle guerre avec les autres familles. C'est pourquoi Daisuke et Jay sont chargés de le surveiller...
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2 - WAR :
Alors que Clair Leonelli est reconnu comme chef de son clan par les autres familles, Daisuke et Jay enquêtent sur une étrange épidémie d'asthme qui frappe un des quartiers de la ville. Celle-ci pourrait bien avoir été provoquée par l'introduction de produits pétroliers dans les environs...
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Image |
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Superbe, tant au niveau du piqué et de la définition qu'au niveau des couleurs, saturées à souhait. Tout au plus peut-on noter ça et là un léger crénelage sur le contour des images de synthèse, phénomène apparemment difficilement évitable.
Format de l'image: 16/9 letterbox
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Son |
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Un vrai régal. La piste sonore, très spacieuse, est pétaradante à souhait et respecte bien l'équilibre entre voix et effets sonores. Le doublage est remarquable.
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Interactivité |
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Menus
Comme c'est l'habitude sur les DVD japonais, la série démarre directement et les menus n'apparaissent qu'en fin de programme. Les menus sont au nombre de deux. Le menu principal permet de lancer les deux épisodes individuellement et d'accéder aux suppléments et au chapitrage. Il est précédé d'une très courte animation et est accompagné d'un fond musical. Le choix d'une option s'accompagne d'une petite transition bien agréable.
Chapitrage
Ce menu permet d'accéder aux différents chapitres des épisodes (Générique de début, Première partie, Deuxième partie, Générique de fin, Preview de l'épisode suivant). A noter que le premier épisode comporte un chapitre supplémentaire pour le pré-générique.
Suppléments
Ces suppléments s'enchaînent l'un à la suite d'un l'autre. Il s'agit:
du générique de début sans crédits
du clip vidéo de la chanson "FACE"
de la présentation (très brève) de produits dérivés
de quelques bandes-annonces du catalogue Emotion, dont celles de Macross Zero, Ghost in the Shell - Stand Alone Complex et Devilman - OAV
Packaging
Le DVD sérigraphié est présenté dans un boîtier Amaray noir orné d'une jaquette illustrée par Yuuki Nobuteru lui-même. Le livret est présenté sous forme d'un mini-journal.
First press
La première édition de ce DVD est vendue avec un boîtier bleu en carton épais destiné à contenir les cinq premiers DVD de la série, ainsi que de deux cartes à collectionner.
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Bilan artistique |
Ce qui m'a d'abord frappé, c'est le soin apporté aux décors et à leur animation. On le sait, les décors sont souvent sacrifiés au profit de l'animation des personnages dans les séries TV, mais ici ce n'est pas le cas. Les plans larges de la ville, par exemple, tirent profit de l'utilisation de l'ordinateur et sont vraiment remarquables (spécialement ceux au coucher du soleil, avec leurs couleurs superbes). Ils contribuent grandement au plaisir visuel qu'engendre cet animé.
Puis il y a le chara design, très typé. Disons-le tout de suite, si vous n'aimez pas les personnages d'Escaflowne, vous aurez un problème ici aussi, car c'est du pur Nobuteru, avec ses cheveux transparents et ses nez particuliers. Daisuke est une version blonde de Van, et Kyoko est une copie presque conforme d'Hitomi. Cela dit, une fois que l'on fait abstraction de ces particularités, il faut bien admettre que le soin apporté aux personnages est remarquable. Les visages sont incroyablement expressifs, à l'exception bien sûr de celui de Jay, qui semble avoir été gravé au burin dans un bloc de granit!
Le mecha design n'est pas en reste. Les véhicules (à commencer par la moto de Daisuke) sont superbement dessinés, avec extrêmement de détails, là aussi.
Quant à l'animation, il est évident qu'elle a bénéficié de l'apport des techniques les plus modernes. Elle est très fluide et très naturelle. On peut juste reprocher l'utilisation parfois abusive des images de synthèse, notamment au niveau des poursuites, ce qui donne parfois l'impression que l'on se trouve dans un jeu vidéo. Mais hormis ce petit défaut, le plaisir visuel est vraiment constant, et l'on ne sait où donner des yeux.
Les musiques, très variées et diablement entraînantes, contribuent au rythme de la série.
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Heat Guy J est une excellente série policière mâtinée d'un brin de science-fiction. Bien sûr, nous sommes dans le futur et il y a des androïdes, mais le ressort principal du scénario reste tout de même le travail d'enquêteur de Daisuke et de son comparse Jay, avec tout ce que cela comporte de bagarres, de poursuites et d'arrestations spectaculaires. L'action est très présente et l'animé regorge de scènes de bravoure réalisées avec une virtuosité quasi-cinématographique.
Ces deux premiers épisodes nous plongent immédiatement dans l'action et l'on fait la connaissance des deux principaux protagonistes, Daisuke l'humain hyper-cool, qui garde son sang-froid et cette espèce de nonchalance en toutes circonstances, et Jay, l'androïde impassible et super-efficace. Ce tandem fonctionne très bien et l'on sent qu'il existe un lien très étroit entre ces deux personnages. Kyoko, l'assistante de Daisuke, apporte un brin de charme et de fraîcheur dans cet univers très masculin. Les histoires sont bien construites, même si, encore une fois, la durée limitée des épisodes empêche un réel développement des situations.
En conclusion, Heat Guy J est un animé qui vous en met plein la vue par son aspect visuel très soigné et par la virtuosité de sa mise en scène. Espérons qu'il trouve bientôt preneur en zone 2!
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Points Forts |
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Points Faibles |
Animé
+ Aspect visuel
+ Mise en scène virtuose
+ Bon tandem principal
DVD
+ Qualité technique
+ Quelques suppléments |
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Animé
- CGI parfois trop présents
DVD
- Pas de sous-titres
- Seulement 2 épisodes
- Prix |
Matériel utilisé pour le test :
Lecteur DVD Atex DVD-2700
Téléviseur 29" Hitachi
Ampli Pioneer VSX-D511
Enceintes ALR Jordan Entry 2M SE
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© 2002 Satelight / Heatguy-J Project
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Mazinga (11 Novembre 2003 à 11:41) :
Heat Guy J se situe dans le futur et prend comme point d'ancrage Judo, une cité rongée par la vermine et le banditisme. Les instances dirigeantes de la ville ont créé une section spéciale de sécurité dans laquelle on retrouve nos deux protagonistes principaux, le charismatique Daisuke aidé par son partenaire, le monolithique androïde Heat Guy J. En regardant la série, on pense tout de suite à Blade Runner et Ghost in the Shell (y a pire comme référence non?). On y retrouve tous les ingrédients qui ont fait leur succès : de l'action, des androïdes et des enquêtes rondement menées.
Ces deux premiers épisodes fusent à 100 à l'heure et nous en mettent plein la vue. L'action est omniprésente et il n'est pas question de s'ennuyer un seul instant. Combats, fusillades, courses poursuites en moto ou carrément à pied en bondissant de buildings en buildings (Kawajiri doit être vert de jalousie !), tout ça en seulement deux épisodes ! Reste à voir si les auteurs vont pouvoir tenir le rythme et confirmer notre première impression.
Si vous cherchez une série qui déchire et qui vous file une pêche d'enfer, Heat Guy J est fait pour vous.
A dévorer sans modération !
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Matériel utilisé pour le test :
Tv Thomson 16/9 100hz |
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