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Lupin III
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Goodbye Lady Liberty
Critique de Mazinga, le Dimanche 19 Janvier 2003 à 14:11
Staff TechniqueOeuvre orig. : Monkey Punch Producteur : Yutaka Yasuda, Hidehiko Takei, Motoyoshi Tokunaga Directeur : Osamu Dezaki Scénario : Hiroshi Kashiwabara Chara. design : Noboru Furuse Musique : Yuji Ohno Acteurs : Lupin: Yasuo YamadaFujiko Mine: Eiko MasuyamaDaisuke Jigen: Kiyoshi KobayashiGoemon Ishikawa: Makio InoueInspecteur Zenigata: Goro Naya
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Fiche de l'animé
Origine : Japon
Titre original : Rupan sansei
Type : Spécial
Genre : Action
Durée : 100 mn
Année de prod. : 1989
Produit par : Tokyo Movie Shinsha
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe)
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Support : DVD-9 (1 face/2 couches) Boitier : Digipack Disponibilité : Disponible Editeur : Pathé/Manga Video
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Bonus/Goodies : Fiches personnages.
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Présentation |
Après le formidable succès remporté par les mangas de Monkey Punch, puis par les 3 séries TV (totalisant pas moins de 228 épisodes) et les films cinéma, les pontes de la TMS décident en quelque sorte "d'institutionaliser" Lupin en proposant aux téléspectateurs un rendez-vous annuel sous la forme de TV Special. Goodbye Lady Liberty, connu également sous le nom Bye Bye Liberty - Burst the Crisis! est le premier film TV de Lupin. Depuis 1989, date de sa première diffusion sur la chaîne NTV, les TV Specials s'enchainent toujours au même rythme d'un par an.
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Las d'être traqué sans relâche par ce diable d'inspecteur Zenigata, Lupin tente d'effacer ses traces du fichier central de la police. Mais c'est peine perdue. Il décide alors de prendre du recul et d'ajourner sa carrière afin de passer du bon temps dans l'oisiveté la plus totale, entre filles et TV. Jigen, son complice de toujours, ne tardera cependant pas à le convaincre de tenter un dernier coup d'éclat. Rooster, une vieille connaissance de Jigen, a caché le plus gros diamant du monde dans la Statue de la Liberté. Bien sûr, nos compères ne sont pas les seuls sur le coup. Une puissante organisation se faisant appeler "Les 3 Maçons" va utiliser tous les moyens possibles et imaginables pour mettre la main sur ce fabuleux trésor en premier....
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Image |
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Le niveau de contraste est adéquat et la palette de couleurs, sans être particulièrement riche, est profonde et également nuancée. A signaler que pour une fois la définition est acceptable bien que quelques scènes manquent légèrement de netteté. L'état de conservation est assez moyen puisque quelques parasites visuels sont visibles de temps à autre. De plus, un grain constant, comparable à un fourmillement, est apparent sur l'image de façon plus ou moins prononcée.
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Son |
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L'éditeur nous propose en plus de la piste originale japonaise en DD 2.0 une nouvelle bande-son Dolby Digital 5.1 qui a été préparée à l'occasion de la sortie de ce DVD. Plus puissante et aussi plus claire elle est préférable aux deux autres pistes qui étouffent les aigües. Sans être exceptionnelle ni transcender le matériau d'origine, elle nous permettra de mieux apprécier entre autres la superbe trame sonore. Composée par Yuji Ohno (Capitaine Flam), elle est riche et variée, allant d'un son complètement kitsh et synthétique, au raffinement d'un Jazz venu tout droit de la Nouvelle-Orléans.
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Interactivité |
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Les menus sont soignés et sonorisés. Des extraits de film sont diffusés sur l'écran d'un ordinateur portable. On a cependant un peu de mal au début à bien localiser les rubriques mais on s'y fait rapidement.
EPISODES : lance le film dans son intégralité.
CHAPITRES : le film est découpé en 2 épisodes eux-mêmes sub-divisés en 8 chapitres.
VERSIONS : choix nous est offert de suivre le film en VF 5.1, VF 2.0, VO 2.0 avec ou sans sous-titres.
BONUS : l'éditeur nous propose les fiches des personnages principaux.
PACKAGING :le DVD joliment sérigraphié nous est proposé dans un joli boitier rose transparent. Déplorons ici le manque d'attention porté à la jaquette, qui est des plus grossières !
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Site Internet |
Découvrez le site officiel de Monkey Punch, créateur des personnages.
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Problèmes rencontrés |
Sur la jaquette, comme nous le laisse croire également les menus du DVD, il est indiqué la présence de 2 épisodes, alors qu'il s'agit d'un film TV !
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Bilan artistique |
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Le chara design, à la fois drôle et expressif, est reconnaissable au premier coup d'oeil. Lupin fait fi du temps et se moque éperdùment des modes. Son graphisme n'a quasiment pas changé depuis sa création dans les années 60. Au delà de l'aspect purement graphique, ce style permet aux personnages, par les différentes postures prises, d'être très expressifs. A ce propos, en plus de sa veste rouge, Spike (Cowboy Bebop) doit à Lupin sa façon de bouger et son agilité dans les combats avec ses gestes amples.
L'animation, bien que moyenne, n'handicape jamais le bon déroulement de l'histoire. On peut ici saluer le travail d'Osamu Dezaki qui, par sa maitrise du rythme et du découpage, parvient à nous tenir en haleine jusqu'à la fin. Au même titre que les compositions musicales, Goodbye Lady Liberty est un titre très varié dans lequel on ne s'ennuie pas une minute.
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