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Lost Universe
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Volume 1/5 
Critique de Tox, le Mardi 30 Juillet 2002 à 14:51
Staff Technique Prod. exécutif : Tsuguhiko Kadokawa Réalisation : Hajime Kanzaka, Mayori Sekijima, Yasunori Yamada Chara. design : Naomi Miyata Mecha design : Tsutomu Suzuki Dir. photographie : Shigeo Kamiyama
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Fiche de l'animé
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Action
Durée : 130 minutes
Année de prod. : 1998
Produit par : TV Tokyo, Softex
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe) 
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Support : DVD-5 (1 face/1 couche) Boitier : Digipack Disponibilité : Disponible Editeur : Declic Images
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Bonus/Goodies : Le monde de Lost universe, fiches techniques, génériques, bandes annonces, une galerie digne de ce nom .
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1 - La psychoblade
2 - Introduction au Sword Breaker
3 - Escorter le témoin
4 - Les fascinantes beautés de la plage
5 - Boom! Explosion à plasma
6 - Explosion ! Apprenties infirmières
Etant donné que les épisodes sont indépendants, le résumé de la jaquette fera l’affaire.
« Kain Blueriver a hérité dans d’étranges conditions de la psychoblade et d’un Lost Ship, étranges vaisseaux issus d’une ancienne civilisation et dotés d’une technologie qui n’a jamais pu être répliquée par les humains. Avec son ordinateur de Bord Canary (qui se présente sous la forme d’ un très joli avatar holographique) et de la détective Millie, tous trois sont des rebelles qui parcourent l’univers. » Petite mention pour le pervers amateur de jeunes filles en maillot de bain et vidéo otaku, Rail, cadre de la police intergalactique, et l’apparition d’une chasseuse de tête qui sera peut être une des bonnes surprises des prochains épisodes…
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Image |
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la compression d’image est bonne, aucun bug de lecture à noter. Mais cela ne veut pas dire que l’image est parfaite, le rendu de l’image laisse en effet à désirer et je ne pense pas que cela soit du à un problème de compression mais plutôt de master. Par rendu de l’image vous vous demanderez certainement ce que je veux dire, et bien c’est difficile à expliquer, d’autant que je n’ai pas de point de comparaison avec la version VHS. Mon sentiment, c’est une espèce de flou ou de mauvaise définition, ou bien mauvais contraste, enfin ce que je veux dire c’est que pour une série aussi récente on pourrait s’attendre à voir des couleurs flamboyantes, des contours de dessins parfaitement définis, et ce n’est pas le cas. Bref une qualité d’image moyenne !
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Son |
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Le son est de bonne qualité, et ne souffre d’aucune altération.
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| Interactivité |
 | | Packaging |
Les menus sont très satisfaisant, une recherche graphique poussée et attrayante, un voyage entre les différents menus qui se passe sans problèmes.
Coté suppléments, un point fort du DVD, car vous aurez tout plein de petites fiches techniques ainsi que quelques croquis à vous mettre sous la dent, bref un petit data book interactif (attention j’ai dit petit mais il reste quand même 4 DVD a venir). Autre chose qui me fait plaisir, c’est le nombre de bandes annonces disponibles, bandes annonces qui permettent d’avoir un aperçu prometteur du catalogue printemps - été 2001 de Déclic Images avec au programme Gan dalla, Soul Hunter et El Hazard notamment.
Et puis le must pour la fin le générique karaoké japonais ou sous-titré français, bref y’en a pour tout le monde. A noter également l’option lecture enchaînée qui permet de supprimer les génériques entre épisodes.
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Bilan artistique |
Bon, après la forme, le fond, mais qu’a-t-elle dans le ventre cette série ?
On peut dire qu’il s’agit du produit japonais moyen par excellence, et par moyen, ne voyez pas autre chose que dans la moyenne, d’ailleurs standard eut mieux convenu. La facture en est honnête, même si l’animation et la réalisation restent inégales. Quant au monde ou évoluent les protagonistes de l’histoire il reste un peu plat, dur quand ça se passe dans l’infinie profondeur du cosmos, c’est le produit japonais type qui base tout sur les personnages et verse dans l’auto parodie. On a donc droit à l’humour japonais à deux balles qui fait rire… ou pas, car à force le déjà vu blase, peut être serait il temps d’utiliser des rires enregistrés made in sitcom.
Même constat pour le chara design ou le jeu des acteurs, tout ceci reste standard et peu novateur, mis à part l’intégration d’images de synthèse pour le Lost Ship plutôt bien réussie.
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