Tsukasa, Subaru et Mimiru atterrissent dans un endroit inconnu, séparés les uns des autres. Parviendront-ils à se retrouver malgré les pièges que l'entité sème sur leur chemin, et pourront-ils enfin rejoindre le monde réel?

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Mimiru a invité Bear à participer à un événement spécial dans un donjon qui possède des règles particulières: les monstres y apparaissent de façon tout-à-fait aléatoire et sans rapport avec le niveau du jeu. Mimiru parle alors à Bear d'un personnage qui était devenu si puissant qu'il pouvait terrasser les monstres les plus redoutables d'un seul coup...

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Cet épisode résumé nous relate les événements qui se sont déroulés dans la première partie de la série.

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Tous les joueurs se retrouvent dans The World à l'invitation de Helba pour célébrer leur victoire sur l'entité mystérieuse et le retour à la normale de l'univers du jeu...

Ce septième volume conclut d'une fort jolie façon le périple de Tsukasa et de ses compagnons dans l'univers étrange de The World. En voyant la lenteur avec laquelle progressait l'intrigue, on pouvait se demander comment les auteurs parviendraient à boucler l'histoire en vingt-six épisodes. Et il s'avère finalement que les craintes étaient infondées puisque l'on a droit à un final qui se montre plutôt satisfaisant. Bien sûr, toutes les clés de l'univers ne sont pas dévoilées dans la série (pour cela, il faut également connaître le jeu, voire les OAV) mais on a tout de même bien l'impression d'assister à la fin d'une saga. Tous les protagonistes ont leur rôle à jouer, même Sora, qui en fin de compte rejoint le camp de Subaru et des autres face à Morgana. On a également le droit à quelques gouttes d'émotion, avec les retrouvailles de Tsukasa et de Subaru dans le monde réel.
Les trois autres épisodes du disque sont d'un intérêt moindre. On passera rapidement sur l'épisode 27 (en fait le 15ème dans l'ordre de diffusion), qui n'est qu'un résumé de la première partie de la série et n'apporte rien de nouveau. Intermezzo nous révèle quelques infos supplémentaire sur Mimiru, tandis que Unison, lui, nous permet de quitter l'univers de la série sur une note plutôt joyeuse, dans un épisode où les personnages du jeu se mêlent à ceux de l'anime.

Au niveau du DVD en lui-même, Beez clôture en beauté l'une de ses deux éditions les plus réussies (avec celle de Ghost in the Shell - SAC) à l'heure actuelle: image de qualité, packaging réussi, édition artbox avec goodies, bonus intéressants et finalement assez nombreux et enfin VF de fort bon niveau. Il faut maintenant souhaiter que cela devienne le standard des parutions de l'éditeur...

Mon avis: .hack//SIGN est une série originale qui peut désarçonner par son rythme lent et méditatif et par son intrigue basée plus sur les dialogues que sur l'action. Cela n'en reste pas moins une oeuvre fascinante à plus d'un titre, qui dispose en plus d'une musique merveilleuse jouant un rôle énorme dans l'ambiance féerique et enchanteresse de The World. Les personnages sont terriblement humains et attachants et la série est un régal pour le yeux. Voilà une oeuvre que j'apprécie énormement et que je recommande chaudement, d'autant que l'édition proposée par Beez est à la hauteur. Alors pourquoi se priver?