Lesson 1 :

Eikichi Onizuka est un jeune homme de 22 ans qui aspire à devenir professeur malgré une jeunesse tumultueuse consacrée aux bagarres et mauvaises fréquentations. Il commence par suivre un stage de deux semaines dans le lycée Musashi-No-Kita et doit prendre en charge la classe la plus turbulente...

Lesson 2 :

Après avoir manqué l’examen pour devenir professeur dans le public, Onizuka se voit offrir une chance d’occuper un poste dans un établissement privé, le Holy Forest Academy. Le jour de l’entretien, il fait la rencontre d’Azusa Fuyutsuki et de Hirochi Uchiyamada, un sous-directeur très remonté contre lui.

Lesson 3 :

Onizuka obtient le poste de professeur titulaire et enseigne à la classe des 3-4, composée des pires élèves que l’établissement ait jamais connus... Deux professeurs avant lui ont dû quitter leur poste après une dépression nerveuse. Pour être embauché, une seule condition : résider sur les lieux.

Lesson 4 :

Etre le professeur des 3-4 n’est pas chose aisée, même pour Onizuka qui ne peut lutter contre les photographies malsaines où est exposée au grand jour toute sa débauche... Même sa collègue Azusa Fuyutsuki voit en lui un pervers impardonnable. Pendant qu’il tente tant bien que mal de se disculper, ses élèves veulent à tout prix le faire renvoyer.

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Lesson 5 :

Pour s’être montré beaucoup trop amical envers Onizuka alors que bon nombre d’élèves ont l’intention de le renvoyer, Yoshikawa se fait brutaliser par Anko et ses amies. Excédé par les exactions auxquelles se livrent ces dernières, Yoshikawa décide de mettre fin à ses jours en se jetant du toit de l’établissement, mais il est sauvé in extremis par Onizuka...

Lesson 6 :

Après avoir compromis Anko, la fille de la présidente du PTA, Onizuka est convoqué à une réunion de parents d’élèves en vue de fournir des explications pour justifier ses actes. Anko voit là une parfaite occasion pour renvoyer ce professeur en influençant sa mère. Mais Yoshikawa a bien l’intention d’aider Onizuka jusqu’au bout et demande assistance auprès de Kikuchi.

Lesson 7 :

Murai est très ennuyé car c’est la période où les professeurs visitent les parents à leur domicile. Or sa mère est encore dans sa pleine jeunesse et il craint qu’Onizuka ne profite de cette visite pour la séduire... Il incite alors ses camarades par la force à refuser la visite. Mais manque de chance, Onizuka et sa mère parviennent tout de même à se rencontrer malgré sa vigilance...

Lesson 8 :

Onizuka devient de plus en plus populaire auprès des 3-4 et de plus en plus d’élèves se rallient à sa cause, ce qui a pour effet d’agacer au plus haut point ceux et celles qui sont encore contre lui. Une fois la classe terminée, Murai surprend sa mère et Onizuka, qui avaient prévu un rendez-vous au bowling. Mais en pleine partie, la mère de Murai doit repartir, laissant ce dernier et ses amis seuls avec le professeur, avec qui le courant ne passe pas vraiment...

Lesson 9 :

Victime d’un des projectiles d’Onizuka, le professeur d’éducation physique Fukuroda lui lance un défi de natation. Si Onizuka perd, il ne doit plus jamais sortir du rôle de simple professeur durant ses heures d’enseignement. Après la confrontation, Miyabi élabore un nouveau plan pour faire renvoyer de manière certaine Onizuka en lui faisant endosser le vol de sous-vêtements féminins. Pour ce faire, elle demande à Tomoko Nomura d’introduire les sous-vêtements dans le casier d’Onizuka.

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Lesson 10 :

Suite à la dernière opération manquée de Miyabi pour faire renvoyer Onizuka, Tomoko Nomura se fait rejeter par cette dernière, qui la tient responsable de cet échec. Depuis lors, elle est la cible de mauvaises plaisanteries en tous genres, notamment du fait de sa "lenteur" d'esprit, ce qui ne facilite en rien son intégration auprès de ses autres camarades. Pour tenter de la réhabiliter, Onizuka a pour projet d'en faire une nouvelle idole...

Lesson 11 :

Le concours de beauté a enfin débuté, et Tomoko a une adversaire de taille, Miyabi, dont la prestation enchante les juges. Pour Murai et ses amis, le cas de Tomoko est désespéré, ils ne voient absolument pas en quoi ses maladresses successives peuvent contribuer à en faire une future star selon les dires d'Onizuka... Mais ce dernier reste confiant et croit au potentiel de Tomoko.

Lesson 12 :

Mademoiselle Fuyutsuki est épiée dans ses moindres faits et gestes dans l'ombre par Teshigawara, un professeur de mathématiques sortant de l'université de Tokyo. Il a pour objectif de construire sa vie avec elle, et élabore un plan pour tenter une approche progressive visant à nouer des premières relations avec elle. Il apprend qu'elle recherche un ordinateur personnel pour ses travaux, il voit là une excellente occasion pour mettre à exécution la première phase de son plan.

Lesson 13 :

Teshigawara donne des cours particuliers à la fille de madame Ota, qui est la présidente de la société de l'Etude des Représailles dans l'Education. Il veut se servir de cette dernière pour faire renvoyer Onizuka en lui faisant part d'une rumeur comme quoi un ancien délinquant serait devenu enseignant. C'est en compagnie de ses conseillers que madame Ota décide d'aller observer un cours dispensé par Onizuka...

Lesson 14 :

Après la visite de madame Ota, Onizuka n'était pas loin du renvoi, mais on lui accorde un dernier recours pour rester enseignant, participer à l'examen du Togaku en même temps que ses élèves et se positionner major de la promotion. Pour l'aider dans ses travaux de révisions, mademoiselle Fuyutsuki lui propose de l'héberger chez elle durant la semaine pour y suivre un programme très intensif de remise à niveau...

Voici enfin que débarque le premier coffret de l'édition VO/VF de GTO. Pour ce qui est de l'animé, rien de neuf. La série mélange à merveille émotion et humour disjoncté. Les aventures vécues par notre cher professeur et ses élèves sont très marrantes à suivre avec à chaque fois une pointe de moralité qui fait d'Onizuka un homme juste et droit. La qualité de la série est assez bonne et même si les détails visuels ne sont pas toujours au top, le résultat est largement satisfaisant pour ce type de série.

La grosse nouveauté de cette édition est donc l'arrivée d'une version française. Et le résultat est assez bon puisque le jeu des acteurs est réussi et l'adaptation essaie de rester fidèle aux textes originaux et surtout à l'ambiance. Après ces 14 épisodes, on pourrait juste reprocher certaines voix un peu mal choisies comme celle de Murai et l'utilisation parfois très prononcée du verlan qui pourrait en agacer plus d'un par moment.

Pour ce qui est des DVD, la déception vient des bonus qui ne présentent ici que des galeries d'images alors que l'édition VO propose des clips et d'autres petits bonus plus sympas. Heureusement l'éditeur prévois de sortir de véritables bonus dans l'un des deuxs coffrets suivants, affaire à suivre donc... Pour le reste, rien à signaler.

Mon avis: voici une édition destinée à un large public qui aime les gros délires. La version française se laisse apprécier même si elle n'arrive pas à apporter les mêmes sensations que sa grande soeur. GTO est pour moi une série incontournable si vous cherchez de l'humour avec une pointe de sérieux et pas mal d'émotion. Dommage que pour cette édition ultime, les bonus ne soient pas au rendez-vous.

Yann Mermet (20 Février 2005 à 07:10) : Si le manga fait partie des meilleurs titres de l’éditeur Pika, il en est assurément de même pour GTO version animée chez Kaze. Souvent cru, voire même vulgaire, l’imprévisible Great Teacher surprend son monde à chacune de ses initiatives et assure une bonne dose de franche rigolade.

Cette édition collector propose donc, outre la sublime VO, la version française en stéréo et dans un mixage 5.1 bricolé et enfin de succincts bonus. Concernant le doublage français, il faut savoir qu’il n’a pas été outrageusement édulcoré et reste dans l’ensemble bien bourrin. Si certaines voix collent parfaitement aux personnages, d’autres sont franchement ratées (celle de Muraï est l’exemple le plus flagrant). Quant à Onisuka on dira qu’elle a un style différent de celle de l’inégalable Seiyu original… Le master n’est pas celui utilisé pour l’édition précédente mais celui diffusé sur Canal+. De ce fait il présente quelques Hard-Subs (sur les écrans titres entre autre) et offre donc une différentiation supplémentaire entre les deux éditions. Pour un collector, les suppléments sont par contre très légers (une galerie d’image uniquement) mais gageons que l’éditeur garde le matériel en sa possession pour les coffrets suivants.

GTO est un Must Have à côté duquel ceux, qui n’ont pas encore investi, auraient tord de passer. Vivement la suite "Bon Sang de Bonsaï" !