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Ayashi no Ceres
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Vol. 1/6
Critique de Algol, le Lundi 29 Mars 2004 à 16:50
Staff Technique
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Fiche de l'animéPublic : 14+
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Fantastique
Durée : 4 x 24 minutes
Année de prod. : 2000
Produit par : ShogakukanBandai VisualStudio Pierrot
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe)
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Couleur : PAL Vidéo : 6.10Mbps Support : DVD-5 (1 face/1 couche) Disponibilité : Disponible (25/03/2004) Editeur : Dybex
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Bonus/Goodies : Génériques karaoke
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Présentation |
L'auteur
Née le 5 mars 1970 à Osaka, Yuu Watase est surtout connue pour Fushigi Yûgi et Ayashi no Ceres, deux grandes sagas shôjo adaptées en animé. Elle a fait ses débuts en 1989 avec Pajama de Ojama. Parmi ses autres oeuvres, on peut citer Imadoki!, Alice 19th , Appare Jipangu et la série des Miman Okotowari.
Elle aime les films et les livres (principalement science-fiction et fantastique), ainsi que la musique (plutôt instrumentale que vocale, mais pas le Heavy Metal!). Mais ce qu'elle préfère par-dessus tout, c'est dessiner... pour notre plus grand plaisir!!
La série
La série animée Ayashi no Ceres a vu le jour en 2000 au sein du studio Pierrot, créateur de séries telles que Urusei Yatsura, Juuni Kokkuki, Les Mystérieuses Cités d'Or, Saiyuki, Naruto et bien d'autres encore, et qui avait déjà adapté l'autre saga de l'auteur, Fushigi Yûgi. On retrouve d'ailleurs ici une partie de de l'équipe de Fushigi, à l'image du réalisateur, Hajime Kamegaki ( Project ARMS, God Mars) ou du character designer et directeur de l'animation, Hideyuki Motohashi ( Hikaru no Go, D.N. Angel, Harlock Saga, B'tX. Le scénario est dû à Sukehiro Tomita ( Kimagure Orange Road, Macross, Sailor Moon) et à Yukiyoshi Ohashi (les films de Kenshin et de YuYu Hakusho).
Les 24 épisodes de la série ont été diffusés au Japon du 20 avril au 28 septembre 2000, sur la chaîne satellite WOWOW.
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Acte 01: 16 Etoiles : Aya et son frère jumeau Aki vont avoir seize ans. Mais la journée d'Aya est perturbée par d'étranges phénomènes et par un accident auquel elle échappe de justesse grâce à l'intervention d'un mystérieux inconnu. Le soir, Aya et Aki apprennent qu'ils vont fêter leur anniversaire chez leur grand-père. Lorsqu'ils arrivent sur place, ils sont surpris de voir toute leur famille...
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Acte 02: Premier Baiser : Le grand-père d'Aya ordonne à son fils de la tuer, mais quand celui-ci refuse d'obéir, il est abattu. Alors qu'Aya est sur le point d'être exécutée à son tour, une explosion ravage la demeure. On retrouve Aya au sommet de l'arbre où elle aimait jouer étant petite. Elle y est rejointe par un homme, Toya, qui s'avère être l'inconnu de la veille...
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Acte 03: Venue du Ciel : Suzumi apprend à Aya qu'elle est la descendante d'une nymphe céleste, et que c'est pour cela que sa famille essaye de l'éliminer. Aya ne sait trop que croire et quitte la maison de Suzumi pour rentrer chez elle. Elle a de nouvelles visions, dans lesquelles elle découvre que son frère et sa mère sont dans un hôpital. Elle s'y rend immédiatement et retrouve sa mère...
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Acte 04: Le Manteau de Plume : Lorsque Yuhi arrive dans la chambre d'hôpital, il découvre qu'Aya a disparu et qu'à sa place se tient une inconnue qui dit s'appeler Ceres. Elle semble vouer une haine féroce à la famille Mikage et elle réclame à Toya son manteau de plume. Pour l'arrêter et faire revenir Aya, Yuhi n'a plus qu'une solution...
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Image |
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Très bon niveau! La définition et la netteté sont excellentes, les contours précis et les couleurs vives et lumineuses. On a droit à des noirs profonds et l'aliasing et la cross-coloration sont totalement absents. En dehors du bruit vidéo et de la rémanance dûs au transcodage, il n'y a vraiment pas grand-chose à reprocher!
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Son |
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Le son est d'un excellent niveau également. C'est une bonne stéréo, suffisamment dynamique, avec quelques effets directionnels. Elle est bien spatialisée, surtout pour ce qui est des musiques. Les voix sont claires et parfaitement intelligibles.
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Interactivité |
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Menus
Les menus sont assez jolis et présentent un design similaire à celui de la jaquette. Ils sont animés et accompagnés d'un fond musical. Le menu principal, introduit par une petite animation que l'on peut sauter, permet de lancer la lecture en continu et d'accéder au chapitrage et aux bonus. Le passage d'un menu à l'autre s'accompagne d'une petite transition sonore et animée.
Sous-titres
Les sous-titres sont activés automatiquement au démarrage et peuvent être désactivés en cours de lecture à l'aide de la télécommande.
Chapitrage
Comme d'habitude, l'éditeur ne propose qu'un point d'accès par épisode dans ce menu, alors que les épisodes sont découpés en six chapitres (prologue, générique de début, première partie, deuxième partie, générique de fin, preview de l'épisode suivant).
Bonus
On retrouve en bonus les deux génériques sans crédits avec sous-titrage en français ou en romaji.
Bandes-annonces
L'éditeur propose les bandes-annonces de Noir, Otaku no Video et The Soultaker.
Packaging
Le disque sérigraphié orné du portrait d'Aya est logé dans un boîtier transparent orné d'une jaquette biface, dont la face avant reprend le portrait d'Aya avec Ceres en fond. L'intérieur présente une autre illustration avec cette fois Aya et Aki.
Teasers |
Eyecatches |
Crédits |
Ecrans-titres |
Sous-titrage génériques |
Présents |
Présents |
Français |
Français (overlay) |
Absent |
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Problèmes rencontrés |
L'éditeur a eu la TRES mauvaise idée de traduire les titres des épisodes en utilisant des overlays particulièrement hideux. On se croirait revenu à l'époque de la VHS...
Il y a un très bref décrochage à 6'05 dans le deuxième épisode.
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Bilan artistique |
Visuellement, l'anime est très plaisant, principalement grâce à un character design très réussi qui respecte toutes les composantes du style de l'auteur: très élégant et détaillé pour les personnages principaux et volontairement caricatural pour Mme Kyo, sans oublier le SD pour les passages humoristiques. Les décors sont agréables et l'animation correcte. La mise en scène reste fort traditionnelle et peu spectaculaire.
Au niveau de l'histoire, on retrouve tous les ingrédients qui avaient déjà fait le succès de Fushigi Yûgi: une héroïne accablée par des malheurs divers mais qui lutte vaillamment, le côté fantastique et magique, les passages hautement dramatiques, les passages humoristiques pour alléger l'atmosphère... et bien sûr l'inévitable histoire d'amour, belle, tragique, compliquée et semée d'embûches. Elle n'est encore que suggérée ici, mais on n'a aucun mal à deviner ce qui va se passer par la suite.
Les musiques, elles, ne laisseront sans doute pas un souvenir impérissable, à l'exception peut-être de Scarlet, le générique d'ouverture, particulièrement bien mis en valeur par la superbe voix de Junko Iwao, qui par ailleurs double Ceres dans la série.
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Ayashi no Ceres nous plonge d'emblée dans son univers fantastique!
L'anime démarre en effet très rapidement. Dès la fin du premier épisode, on se retrouve plongé dans l'histoire tragique et sanglante de la famille Mikage et l'on sait d'emblée qu'Aya va connaître un destin difficile. On est tout de suite pris dans l'ambiance, qui fait immanquablement penser à Fushigi Yûgi, mais avec un côté plus violent et plus dur. On pourra d'ailleurs remarquer avec un certain étonnement qu'à ce niveau, l'anime va plus loin que le manga, auquel il reste assez fidèle par ailleurs, du moins en ce qui concerne ces premiers épisodes. Les bases de l'histoire commencent à se dévoiler et l'on ne demande qu'une chose: avoir la suite au plus vite!
Au niveau de l'édition, on a droit à une qualité d'image excellente, de jolis menus et un petit bonus fort sympathique. La qualité de l'adaptation est très correcte, sans rien de choquant et la jaquette est encore une fois très réussie. Quel dommage que ce beau bilan soit gâché par l'idée saugrenue d'utiliser des overlays fort peu discrets... Pour la peine, j'ai retiré un demi-point à la note du DVD!
Mon avis: avec Ayashi no Ceres, Yuu Watase nous offre une nouvelle histoire fantastique remplie d'amour, d'humour et de mystère, et des personnages particulièrement attachants. Une série chaudement recommandée à ceux qui ont apprécié Fushigi Yûgi!
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Matériel utilisé pour le test :
Lecteur DVD Atex DVD-2700
Téléviseur 29" Hitachi
Ampli Pioneer VSX-D511
Enceintes ALR Jordan Entry 2M SE
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© Yuu Watase / Shogakukan - Bandai Visual - Studio Pierrot
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Packaging |
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