Daisuke et J enquêtent sur un étrange trafic de passeports. Il semblerait qu'un réseau bien organisé fasse disparaître des citoyens de Judoh et réattribue leur identité à quelqu'un d'autre. En même temps, Daisuke garde un oeil sur Christina, la mère de Monica, qui a le chic pour s'attirer des ennuis...

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Cela fait six fois déjà que la tour centrale de Judoh est la cible d'une alerte à la bombe . Daisuke mène l'enquête à la base militaire et fait la connaisance de Walter Jurgens, un ancien soldat qui le prend en affection et insiste pour lui présenter sa petite-fille. Mais celle-ci n'est pas vraiment une inconnue...

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Edmund est confronté à plusieurs meurtres sanglants frappant des criminels et impliquant une mystérieuse jeune femme. Et dans le même temps, il essaie de recoller les morceaux de sa vie en renouant une relation avec Elisa, son ex-fiancée. Celle-ci est bientôt soupçonnée d'être l'auteur des meurtres...

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Les Célestes, qui détiennent le savoir technologique permettant de faire fonctionner les installations des villes, arrivent à Judoh. Mais ils sont accueillis par des mercenaires qui abattent douze d'entre eux. La situation est grave pour les autorités de Judoh, d'autant que l'un des Célestes se promène apparemment tout seul en ville...

Décidément, Heat Guy J reste au fil des volumes un véritable régal pour les yeux, avec un character design vraiment magnifique, des décors riches et un festival de couleurs et de jeux de lumière. L'histoire quant à elle suit son petit bonhomme de chemin et l'univers de la série continue à se mettre peu à peu en place. Car le personnage principal de ce volume n'est ni Daisuke ni J, mais bien Judoh elle-même. Petit à petit, on en vient à comprendre comment la ville fonctionne et l'on s'aperçoit que la vie n'y est peut-être pas aussi idyllique qu'elle n'y parait de premier abord.
Les personnages secondaires s'étoffent également, avec un épisode consacré à la petite Monica et à sa mère, et un autre à l'inspecteur Edmund, qui jusqu'à présent ne faisait guère plus que de la figuration. On remarque également le retour de personnages qui sont apparus au cours d'épisodes précédents, tels Boma l'homme-loup ou Rumie. Bref, on a affaire à un univers cohérent qui prend de plus en plus de consistance.

Au niveau DVD, on reste sur une excellente impression, tant au niveau technique qu'au niveau du packaging. Pioneer s'affirme une fois de plus comme l'un des meilleurs (si pas le meilleur) éditeurs américains d'animation.

Mon avis: la série continue sur lancée et procure toujours autant de plaisir, avec en prime d'excellentes musiques et une qualité d'image de haut niveau. Il ne manquerait plus que des bonus un peu mieux présentés pour parfaire notre bonheur. Quoi qu'il en soit, Heat Guy J est une série que je recommande chaudement aux amateurs d'action et d'enquêtes policières, avec une pincée de SF pour assaisonner le tout...

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Noir

Cowboy Bebop

Bubblegum Crisis 2040

Joe Gillian (20 Janvier 2004 à 16:48) : Toujours aussi bon ! Comme le souligne Algol, les choses commencent à se mettre en place, et l'épisode 12 (à suivre sur le dvd 4) nous laisse entrevoir d'étonnantes révélations. A n'en pas douter, c'est maintenant que les choses sérieuses vont commencer. Si les 3 premiers épisodes semblent encore assez indépendants, ils permettent de mettre en place de manière approndie certains personnages secondaires, offrant un tout cohérant.
Au niveau de la réalisation, c'est toujours aussi magnifique. Belles images, belles musiques... le tout étant très bien rendu dans cette édition de Pioneer, où le seul reproche que je ferais est la présentation des croquis vraiment mal faite.

Heat Guy J est une valeur sûre pour les amateurs du genre, et on en redemande volontiers.