Lexique des termes techniques
A - B - C
- D - E - F - G
- H - I - J - K
- L - M - N - O
- P - Q - R - S
- T - U - V - W
- X - Y - Z
Index
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A |
Academy
1.33:1 |
Le format Academy fut créé au
tout début du Cinéma, en 1910 et restera le "standard"
jusqu'en 1927. Les premiers films (muets) utilisent ce format,
très proche du 4:3. Ce ratio sera porté à
1,37:1 de 1927 à 1953 pour laisser de la place à
la piste son optique. L'AMPAS (Academy of Motion Picture and Arts
and Sciences) l'a adopté comme standard à cette
époque.
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Academy
1.85:1 |
Le Panavision 1,85 ou Academy Flat est le grand
standard pour les films tournés en 35mm (par rapport au
70mm). Il est très utilisé.
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Aliasing |
L'aliasing est un défaut qui apparaît
lorsque la technique de numérisation se révèle
insuffisante, notamment à cause du sous-échantillonnage
de l'image source. Ce défaut se manifeste par un effet
de scintillement des lignes fines et droites, tel que par exemple
des objets striés, rayés ou quadrillés, contenues
dans une image en mouvement. C'est également un défaut
typique des vidéos entrelacées. Par conséquent,
même si l'image est correctement numérisée,
supprimant ainsi totalement cet effet de la source vidéo
contenue dans le DVD, le défaut peut tout de même
apparaître lors de l'opération de conversion de la
source vers le format affichable du téléviseur.
Pour remédier à ce problème, un équipement
approprié s'avère nécessaire, tels que les
lecteurs à scan progressif couplés à un dispositif
d'affichage capable de restituer un signal progressif, à
la condition de disposer d'un DVD progressif, dont la source vidéo
est elle-même au préalable exemptée d'aliasing.
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Anamorphique |
Ce type de transfert ne s'applique que dans
le cas où le format natif est en 16:9, et permet d'améliorer
très visiblement la résolution de l'image restituée
à l'écran, et par conséquent, la qualité
de son affichage. Pour ce faire, l'image est préalablement
comprimée dans le sens de la largeur afin de tenir dans
un rectangle de ratio 4:3, toutes les lignes vidéo sont
de ce fait utilisées pour définir l'image, c'est
ce que l'on appelle l'anamorphose.
Perfect Blue
C'est cette image déformée qui
est stockée sur le DVD, le disque blanc dans le coin supérieur
droit rend compte de la déformation opérée
par l'anamorphose. À la lecture, l'image est désanamorphosée
et reprend les bonnes proportions.
Perfect Blue
Le bénéfice du transfert anamorphique est d'utiliser
pleinement la résolution horizontale du téléviseur
en mettant à profit l'élimination des bandes noires,
qui auraient dû être présentes pour conserver
le ratio 4:3 s'il s'était agit d'un transfert non anamorphique.
Les lignes supplémentaires ainsi récupérées
permettent donc d'afficher plus de détails horizontalement
et non plus de l'information vide. Les téléviseurs
16:9 profitent pleinement de ce gain de résolution, de
même que les modèles 4:3 dotés de la commutation
16:9.
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Anime |
Terme qui désigne les dessins animés.
Dans le langage courant, il y a souvent confusion entre Anime
et Manga.
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Aosen |
Nom donné aux mangas pour adultes.
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Art Book |
Livre, souvent de très bonne qualité,
où l'on peut trouver des illustrations d'une série.
Ces illustrations sont souvent inédites et l'on peut y
voir les personnages dans des situations et/ou vêtements
inédits. Très prisés par les fans, ces livres
sont souvent assez chesr.
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B |
BGM |
BackGround Music. Ce sont les musiques de fond.
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Bishôjô |
Littéralement "belles filles".
Dans ce genre, sont englobés tous les mangas (généralement
shôjo) ayant pour protagonistes de belles filles. De même,
ce terme est utilisé pour désigner n'importe quelle
belle fille dans un manga ou un anime.
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Bishônen |
Littéralement "beaux garçons".
Dans ce genre, sont englobés tous les mangas (généralement
shôjo) ayant pour protagonistes de beaux garçons.
De même, ce terme est utilisé pour désigner
n'importe quel beau garçon dans un manga ou un anime.
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C |
Chroma
Noise |
Ce défaut affecte surtout les grandes
surfaces de même couleur dans une image. En effet, au lieu
d'afficher une même couleur de manière unie et stable,
les aplats paraissent granuleux et en mouvements constants, résultant
en un "fourmillement" fort désagréable.
Le Chroma Noise apparaît très souvent lorsque la
source vidéo employée est d'origine analogique,
entrainant pour conséquence la présence de bruits
supplémentaires sur l'image, et d'augmenter par là
même la possibilité pour d'autres défauts
de compression d'apparaître, notamment la formation de macroblocking,
due à la tentative du codec d'encoder ces bruits indésirables.
Silent Möbius
On peut observer ci-dessus que le bleu sombre
de la cape n'est pas uniformément réparti. La partie agrandie
de l'image a été éclairée afin de
bien rendre visible le phénomène. Ces bruits sont
en mouvements constants et forment des "fourmillements"
sur l'image.
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Cinémascope
2.55:1 |
Le Cinémascope est le plus connu des
formats panoramiques. Utilisé pour la première fois
par la Fox en 1953, il utilise aussi une lentille anamorphique
compressée sur la largeur comme pour le format Panavision.
Le mot Cinemascope est une marque et un brevet de la Fox. Les
équivalents chez d'autres majors sont Techniscope, WarnerScope,
Superscope... Le format Cinémascope n'est plus utilisé
depuis 1965.
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Cinérama
3:1 |
Le Cinérama fut le plus large des formats
employés. Développé par la Paramount et utilisé
dès 1952, il nécessitait l'emploi de 3 caméras
et 3 projecteurs. L'écran courbe accentuait l'effet panoramique.
Il a été abandonné en raison de la complexité
de mise en œuvre.
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Color
Bleeding (étalement de couleur) |
Le Color Bleeding, ou encore étalement
de couleur, se produit lorsque les bords d'une couleur s'étalent
sur une zone contiguë de l'image de manière inappropriée.
La raison la plus courante de ce phénomène est la
saturation excessive de l'image. Ce défaut peut aussi se
produire lors de travaux vidéos à basse résolution.
Inu Yasha
On voit dans l'exemple ci-dessus que le rouge
déborde sur la chevelure d'Inu Yasha. L'agrandissement
de la partie encadrée permet de mettre en évidence
l'effet de l'étalement de couleur.
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Cross
Coloration |
Le Cross Coloration consiste en l'apparition
de fausses couleurs dans l'image, souvent au voisinage de lignes
étroitement serrées. Ce phénomène
n'affecte que les signaux vidéos transférés
en composite.
Argento Soma
Dans l'exemple ci-dessus, le Cross Coloration
s'observe aisément sur le bloc notes. En effet, on peut
très clairement apercevoir les fausses couleurs sur la
tranche des feuilles ainsi que le bord du bloc notes, là
où le phénomène est le plus visible.
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D |
Dôjinshi |
Publications collectives sous forme de revues.
Dans le cas des mangas, il s'agit de dessinateurs débutants.
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Dolby
Digital |
Format sonore exploité en salles et
en application domestique (Laserdics et DVD) utilisant le procédé
AC-3 des laboratoires Dolby. Un flux numérique Dolby Digital
peut contenir de 1 à 6 canaux distincts.
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Dolby
Surround |
Le Dolby Surround est un procédé
des laboratoires Dolby permettant d’encoder une voie en plus
de la stéréo. Le canal supplémentaire est
utilisé pour véhiculer des informations Surround
restituées par des enceintes arrières. La version
Pro Logic (la plus avancée) permet d’obtenir une meilleure
séparation des canaux, mais également de restituer
un canal supplémentaire : la voie centrale destinée
aux dialogues. La lecture en simple stéréo est possible,
de même que l’écoute monophonique.
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Dot Crawl |
Le Dot Crawl apparaît sur les
bords de couleur et se manifeste par des mouvements de points
le long de ces bords. Ce défaut ne peut plus être
totalement éliminé une fois qu'il a été
introduit dans le flux vidéo, et il prend naissance avec
la manipulation de signaux composites.
Visions d'Escaflowne
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Drop Out
(de bande numérique) |
Un Drop Out est un défaut d'enregistrement
ou de lecture de la bande magnétique. Sur les bandes numériques,
auxquelles on peut à tout moment faire appel durant le
processus d'authoring, de puissants algorithmes de correction
d'erreurs se chargent de les masquer en restituant par calculs
les données erronées. Les informations de l'image
étant réparties sur l'ensemble de la piste vidéo,
un Drop Out ne fait qu'élever légèrement
son niveau de bruit. En revanche, s'il y en a beaucoup trop, le
correcteur d'erreurs ne peut plus fonctionner efficacement, et
l'image résultante comporte des blocs mosaïques répartis
sur toute sa surface et de couleurs parfois étranges.
New Cutey Honey
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DTS (Digital
Theater Systems) |
Le D.T.S. est un format sonore multi-canaux
à haut débit. Il contient généralement
6 canaux comme le Dolby Digital, mais avec une définition
et une dynamique supérieures. Suivant les amplificateurs
et processeurs domestiques, la gestion n’est pas toujours
aussi souple qu’avec le Dolby Digital, mais il peut cependant
être également converti en simple stéréo.
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DVD Vidéo |
Disque optique, extérieurement semblable
au Disque Compact, qui peut contenir environ 17 Go de données
si les deux faces sont pressées et si chaque face est double
couche. La vidéo est codée au format MPEG-2 qui
assure une très bonne qualité d'image malgré
une compression élevée. Après quelques cafouillages
au début, la qualité est un peu meilleure que pour
un LASER DISC avec au minimum 133 minutes de film par face. Le
son est le plus souvent encodé en DOLBY DIGITAL ©,
quelques fois en DTS © et parfois en MPEG-2 AUDIO ©.
Plusieurs bandes sonores peuvent être disponibles ainsi
que des sous-titres et des menus animés.
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E |
Ecchi |
Se dit des séries où l'érotisme
est très léger. Petites culottes et décolletés
à volonté.
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Edge
Enhancement |
L'Edge Enhancement est un filtre graphique
que l'on applique pour améliorer les contours d'une image,
afin qu'elles paraissent plus nettes et n'est pas présent
à l'origine sur la vidéo source. Plus concrètement,
il se manifeste par l'apparition d'une ligne claire autour des
contours, ajoutée à l'arrière plan. Judicieusement
employé, ce filtre permet d'améliorer la qualité
d'une image en accentuant la visibilité de ses détails.
Mais excessivement appliqué, les lignes claires propres
au procédé deviennent particulièrement visibles,
surtout lorsqu'il existe un fort contraste entre l'objet et l'arrière-plan.
L'utilisation de ce filtre se justifie pleinement sur les média
de piètre qualité comme les VHS, mais le DVD offrant
une résolution beaucoup plus importante, n'a pas spécialement
besoin d'y avoir recours car les effets s'avèrent pervers
s'il est mal employé.
Neon Genesis Evangelion
La capture ci-dessus met bien en évidence
la ligne claire qui entoure toute la chevelure de Misato, ligne
artificiellement ajoutée par l'Edge Enhancement.
L'agrandissement montre comment procède le filtre.
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Entrelacé |
Le système d'image vidéo divise
les 480 lignes constituant la définition de l'image d'un
DVD en deux trames (une trame paire et une impaire). L'affichage
de ces deux trames l'une après l'autre, en deux balayages
successifs, entraîne un léger scintillement de l'image,
conséquence de l'entrelacement des trames. La définition
d'un DVD étant de 480 lignes entrelacées (interlaced
en anglais), le signal vidéo des DVD actuels est donc dénommé
"signal 480i" (i pour interlaced). Ce système
de deux trames entrelacées constitue le standard de toutes
les sources vidéo grand public.
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Entrelacement
(Interlacing) |
L'entrelacement est un défaut
présent sur le DVD seulement si ce dernier a été
créé à partir d'une source vidéo entrelacée
plutôt qu'une source progressive. Le phénomène
est très souvent visible dans les animes, car les masters
employés sont la plupart du temps produits à partir
de sources entrelacées pour des raisons de coûts,
les sources progressives étant beaucoup plus chères
à se procurer. Visuellement, le défaut d'entrelacement
apparaît sous forme d'un effet de zigzags sur les contours
d'une forme en mouvements. Ce phénomène est la conséquence
de la reconstitution d'une image complète, appelée
aussi frame, à partir de deux trames différentes.
Hellsing
Sur les téléviseurs classiques, dont le balayage
est entrelacé, ce défaut reste parfaitement tolérable,
et ne se repère qu'aux contours déformés
par les sortes zigzags produits par les deux trames différentes.
Dans le cas d'un programme NTSC, il y a deux images entrelacées
toutes les cinq frames, dues à la conversion des
12 images par seconde de la série TV en 30 images par seconde,
ainsi rendues exploitables pour une télédiffusion.
En revanche, sur les dispositifs d'affichage dits progressifs,
tels que les écrans d'ordinateur ou appareils de projection
haut de gamme, ces défauts deviennent particulièrement
visibles et sont absolument immondes si l'image n'est pas correctement
désentrelacée. Pour comprendre comment ces images
entrelacées sont introduites, voir la définition
de Pulldown.
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Ero-Gekiga |
Nouvelle érotique dessinée, manga
pornographique pour des lecteurs masculins autour de 1980.
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Eyecatch |
Ce sont les petites séquences de quelques
secondes que l'on trouve juste avant et juste après la
publicité au japon. Ça peut être juste une
image fixe ou une image animée, avec une petite musique
en fond. Toutes les séries n'en ont pas forcément,
notamment les vieilles.
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G |
Gekiga |
Littéralement "images dramatiques",
"bande dessinée dramatique". Variante du manga
narratif, apparue à la fin des années cinquante,
qui rejette expressément les aspects humoristiques et qui
tente de capter un public jeune avec des aventures d'une certaine
touche réaliste et aussi violente.
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Gibb (ou Mosquito
Noise) |
L'effet Gibb, ou encore Mosquito
Noise, est une conséquence directe de la technique
de compression employée par MPEG, se caractérisant
par un effet de flou tout autour des bords d'un objet ou d'un
détail difficilement compressible. Il s'accompagne souvent
de pixels de couleurs incorrectes dans le voisinage des objets
subissant cet effet. On rencontre la plupart du temps ce défaut
partout où des textes en caractères fins sont impliqués,
tels que les crédits de fin ou encore les sous-titres incrustés
en hardsub.
Sol Bianca, The Legacy
Dans l'image ci-dessus, la partie agrandie
montre comment se manifeste l'effet Gibb. On observe autour des
contours des lettres de nombreux pixels parasites qui s'incrustent
dans l'image.
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H |
Hardsub |
Sous-titres incrustés dans l'image (encodés
avec l'image).
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Hentai |
Littéralement "anormal", "pervers".
Dans les manga, on a l'habitude de faire allusion à un
érotisme suave.
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I |
Image
active et non active |
L'image active est la surface d'affichage
d'un téléviseur, sachant qu'une partie de l'image
totale diffusée se trouve hors du cadre de l'appareil.
C'est la partie de l'image dont la visibilité est garantie
(B). Cette particularité
des images d'un téléviseur est la conséquence
des disparités d'affichage d'un poste à un autre
(voir aussi la définition d'overscan), et
résulte en une partie de l'image non utilisée et
laissée en noir (A).
Cette partie de l'image est dite non active.
Dans le cas des téléviseurs,
la résolution fait référence au nombre de
lignes horizontales affichables à l'écran. Ainsi,
un système NTSC a une résolution de 525 lignes,
mais on considère que l'image active n'est composée
que de 487 lignes. Dans le cas des systèmes PAL ou SECAM,
la résolution est de 625 lignes, mais l'image active n'en
est composée que de 540 environ.
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J |
Josei
Manga |
Genre destiné aux femmes de plus de
20 ans, en particuliers les femmes au foyer et les employées
de bureau.
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K |
Kawaii |
Littéralement "mignon", "charmant",
"adorable". Terme très utilisé par les
jeunes japonaises pour désigner n'importe quel objet, principalement
des peluches, des vêtements ou des boites à musique.
Les garçons l'utilisent pour faire allusion à une
jolie fille, mais ils ne l'emploient pas souvent car cela reste
un terme très féminin.
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Kodomo
Manga |
Littéralement "manga pour enfant".
Ce genre est destiné à des enfants de 6 à
11 ans. Certains de ces mangas rencontrent du succès auprès
de lecteurs de toutes les tranches d'âge.
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L |
Letterbox |
Ce type de cadrage a pour but de préserver
l'intégrité de l'image originale, trop large pour
être affichée en entier sur un téléviseur
4:3, en ajoutant des bandes noires au dessus et au dessous afin
de respecter leur ratio. Ceci a pour effet de respecter le travail
de mise en scène en conservant en entier l'information
visuelle, mais le gros inconvénient est que la totalité
de la résolution n'est pas exploitée, l'image perd
ainsi près de 30% de définition du seul fait d'ajouter
les bandes noires. En effet, comme l'indique la capture ci-dessous,
sur les 576 lignes disponibles, seules 431 lignes servent à
afficher l'image.
Image originale
The End Of Evangelion
Letterbox
The End Of Evangelion
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Limited
Animation |
Tout comme les films tournés pour l'industrie
du cinéma, les films d'animation contiennent 24 images
distinctes par seconde, permettant de reproduire fidèlement
des mouvements extrêmement réalistes et très
fluides, mais cette technique d'animation requiert d'énormes
moyens financiers et exige beaucoup de temps pour pouvoir être
mis en oeuvre. Dus aux restrictions budgétaires imposées
aux studios d'animation japonais au début des années
1960, une autre alternative a été proposée,
qui continue encore aujourd'hui à être très
largement employée, il s'agit du Limited Animation,
qui consiste en une succession de techniques visant à réduire
considérablement les coûts de production. Tout d'abord,
le nombre d'images à la seconde passe de 24 à 12,
puis il se caractérise par l'utilisation de celluloïds
séparés en plusieurs couches, les uns servant uniquement
à l'animation des personnages, et les autres seulement
aux décors ou autres objets en mouvement, le tout superposés
les uns sur les autres pour former une seule image. Ainsi, un
même décor peut être réutilisé
sans avoir à le redessiner à chaque seconde d'animation,
les animateurs se concentrent donc uniquement sur toutes les parties
de l'image en mouvement, réduisant considérablement
le nombre d'images distinctes à la seconde, le temps nécessaire
à passer sur chaque image, et par là même
les coûts de production. En contre-partie, l'animation perd
en fluidité et les mouvements sont plus saccadés
et moins naturels.
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Loli Kon |
Néologisme qui signifie "complexe
de lolita" et fait allusion à une tendance du manga
érotico-pornographique des années 80.
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M |
Macroblocking |
Du fait que le codec MPEG est une méthode
de compression destructive, il peut se produire dans l'image des
effets de blocs, apparaissant comme des mosaïques dont le
contenu est flou. L'image perd donc énormément de
détails et de qualité. Ces défauts sont uniquement
liés à la compression, et prennent naissance lorsque
le taux de compression est trop élevé, ou que la
qualité du signal est trop faible, ou encore que la qualité
de l'encodeur est insuffisante.
Gate Keepers
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Mahokka
(Magical Girl) |
Genre de manga/anime dans lequel la protagoniste
est d'habitude une fille ou une petite fille possédant
des pouvoirs et une baguette magique pour sauver le monde.
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Manga |
Mot japonais utilisé actuellement pour
désigner la bande dessinée japonaise. Il fut imaginé,
en l'an 1814, par le peintre Hokusai Katsuhika (1760-1849), maître
de la xylographie de style ukiyo-e, à partir des termes
"man" (involontaire, comique) et "ga" (dessin,
peinture). Le terme fut créé pour décrire
la caricature ou le dessin humoristique en général.
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Master |
Enregistrement source ou enregistrement original d'une oeuvre.
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MGM
Camera 65 2.76:1 |
La MGM a développé son propre
format, le Camera 65, aussi appelé Ultra-Panavision 70.
L'image est anamorphosée par une lentille cylindrique.
Il n'y eut qu'une dizaine de films tournés dans ce format.
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MPEG-2
(audio) |
Il s'agit d'un format de compression sonore
à 128kBytes/s, comme les MP3 mais plus évolué.
Philips a tenté sans succès d'imposer ce format.
Seuls les premiers DVD sortis en Europe ont des pistes MPEG-2
Audio. Elles peut comprendre jusqu'à six canaux audio :
deux stéréos (avant et arrière), une voie
centrale et un caisson de graves, mais il peut aussi n'y avoir
que du mono.
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N |
NTSC (National
Television System Committee) |
C'est le tout premier système de diffusion
en couleur employé par les télévisions. Le
standard voit le jour en 1953 aux États-Unis, et propose
une résolution horizontale fixe de 525 lignes empilées
les unes sur les autres. Il y a 59.94 trames affichées
par seconde, une trame étant un ensemble de lignes paires
ou impaires. Chaque trame est affichée de manière
séquentielle, ce qui résulte en une image complète
entrelacée toutes les 1/30 de seconde environ. Ce standard
souffre d'une très mauvaise qualité de l'information
de chrominance, entrainant pour conséquence de nombreuses
interférences entre les couleurs et une tendance au glissement
général de l'ensemble des trois couleurs primaires,
imposant souvent un réglage complémentaire sur les
récepteurs afin de pouvoir les rééquilibrer.
Ces inconvénients, inhérents à la sensibilité
du procédé aux conditions de propagation des ondes
électromagnétiques, lui ont valu l'acronyme impopulaire
de "Never Twice Same Color" (jamais deux fois la
même couleur).
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O |
OAV (OVA) |
Sigle de Original Video Animation. Anime destiné
à la vente directe en vidéo.
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Omake |
Courtes séquences parodiques de la série
après l'épisode.
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OST (Original
Sound Track) |
Musiques et chansons d'une série.
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Overscan |
C'est un phénomène très
courant que l'on rencontre avec les téléviseurs.
Ce défaut d'affichage se manifeste par la perte des bords
de l'image qui sont affichés en dehors du cadre de l'appareil.
À cela il existe une raison, certains éléments
échappant à tout contrôle peuvent altérer
la taille et la position de l'image sur la surface visible de
l'écran, tels que les mouvements de l'appareil durant son
transport ou bien encore les changements brutaux de luminosité
du programme diffusé, qui ont pour effet d'agrandir ou
rétrécir la taille de l'image. Afin d'éviter
de rendre visible ces imperfections d'affichage, les constructeurs
font en sorte à ce que l'image soit affichée plus
grande que la surface visible de l'écran. Tout changement
de taille de l'image est ainsi imperceptible car les bords de
l'image ne sont jamais visibles, mais en contre-partie, la perte
d'image affichée est estimée de 5% à 15%.
City Hunter, Goodbye My Sweetheart
Dans l'exemple ci-dessus, la partie de l'image
masquée par le cadre du téléviseur du fait
de l'overscan est matérialisée par la zone rouge
transparente, la surface visible de l'écran étant
délimitée par le rectangle rouge en trait plein.
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P |
PAL
(Phase Alternating Line) |
Ce standard fait son apparition au début des
années 1960, et s'impose dans la plupart des pays européens à
l'exception de la France. Le PAL utilise une bande passante plus
large que le NTSC, ce qui lui permet de restituer une image aux
couleurs plus stables et uniformes. Il affiche 625 lignes horizontales
et 50 trames par seconde, une trame étant un ensemble de lignes
paires ou impaires, résultant en une image complète entrelacée
toutes les 1/25 de seconde. Il existe une variante de ce standard
uniquement employée au Brésil et en Uruguay, il s'agit du PAL-M,
dont les caractéristiques sont d'afficher 525 lignes à 30 images
par seconde.
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Panavision
2.35:1 |
Le format Panavision, aussi appelé Academy
Scope, utilise aussi l'anamorphose pour la projection. C'est le
standard le plus utilisé aujourd'hui. Il correspond au terme "format
cinéma" sur les DVD.
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Postérisation
(posterization) |
Les effets de postérisation apparaissent notamment lorsqu'il
y a des dégradés de couleurs dans une surface.
Cet effet se caractérise par une transition discontinue
d'une couleur à l'autre, et se manisfeste par des "sauts"
de ton dans une même surface, résultant en des
dégradés moins progressifs.
Soul Taker
La partie agrandie de l'image ci-dessus illustre
les conséquences de l'effet de postérisation.
À côté de l'agrandissement a été
ajouté une colonne en dégradé sans postérisation
à titre de comparaison.
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Progressive
Scan |
Signal vidéo dont toutes les lignes composant
l'image sont affichées les unes à la suite des autres, de haut
en bas et en un seul balayage. Ce signal vidéo, où les 480 lignes
sont par conséquent affichées de façon non entrelacée - autrement
dit de façon progressive - est appelé "signal 480p" (p pour progressive).
Il résulte de ce procédé une image dont la définition est purement
et simplement doublée : la fréquence du signal vidéo passe alors
de 15,5Khz à 31Khz, nécessitant l'utilisation, soit d'un téléviseur
compatible Haute définition disposant d'entrées vidéo composante
HD, soit un projecteur acceptant un doubleur de ligne. Pour sortir
un tel signal vidéo progressif d'un lecteur de DVD, il est nécessaire
d'utiliser sa sortie vidéo composante, autrement appelée Y/U/V.
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Pulldown |
Suivant le standard considéré, un téléviseur
peut afficher 25 ou 30 images par seconde, ce qui est largement
suffisant pour l'oeil humain, mais un taux de rafraîchissement
aussi faible entraîne immanquablement des effets de scintillement,
d'où l'idée de doubler la vitesse du balayage. Cependant , un
téléviseur est incapable de restituer une image complète, aussi
appelée frame, en une seule passe à cette vitesse, ceci
remontant aux limitations des matériaux utilisés à l'apparition
des premiers téléviseurs couleur. En effet, pour produire une
couleur, un faisceau d'électrons frappe un point précis de l'écran
sur lequel est positionné un luminophore, qui emet dès lors de
la lumière. Les luminophores qui équipaient les premiers téléviseurs
couleur souffraient d'un temps de réponse relativement conséquent,
de sorte qu'ils continuaient à briller même après le passage du
faisceau d'électrons. Pour résoudre le problème, les lignes ne
sont plus retracées en progressif, c'est-à-dire une ligne
consécutivement à une autre, mais en entrelacé, cela signifie
que le premier balayage vertical va retracer uniquement les lignes
horizontales impaires, puis le second ne va retracer que les lignes
horizontales paires, laissant aux luminophores des lignes impaires
le temps de s'éteindre, et ainsi de suite. Puisqu'un téléviseur
ne peut pas afficher une image autrement qu'en entrelacé, il est
absolument nécessaire de préparer une source vidéo originellement
impropre à une exploitation possible par celui-ci en un format
entrelacé, et c'est durant cette phase qu'intervient le pulldown,
opération qui s'effectue avec l'aide d'un Telecine.
3:2 Pulldown NTSC :
Dans le cas du NTSC, il s'agit de convertir une source
vidéo à 24 images par seconde en un format de 30 images par
seconde et entrelacées. Pour ce faire, le Telecine procède de
la manière suivante :
La vidéo source contient 6 séquences de 4 images par seconde
(6x4fps).
La vidéo destination doit aboutir à 6 séquences de 5 images
par seconde (6x5fps) pour respecter le standard.
Tel que représenté sur le schéma ci-dessus,
la première image (1) se décompose en trois trames, la première
composée des lignes impaires de l'image (1i), la seconde de ses
lignes impaires (1p), puis la troisième qui est la duplication
de la première (1id, d pour dupliqué). Puis l'image
suivante est traitée (2), mais celle-ci n'est décomposée qu'en
deux trames, la première étant constituée des lignes paires cette
fois-ci (2p), et la suivante des lignes impaires (2i), sachant
qu'une trame paire doit impérativement être suivie d'une trame
impaire et inversement. Les mêmes opérations sont répétées pour
les images 3 et 4, en suivant la même séquence. Le résultat obtenu
est la seconde ligne du schéma, où l'on peut remarquer la répétition
du motif 3 trames d'une image suivies de 2 trames de l'image
suivante, d'où le nom de 3:2 pulldown attribué à cette
méthode. La troisième ligne du schéma est la représentation des
images complètes reconstituées par le téléviseur une fois que
l'on réunit deux à deux et successivement une trame impaire et
paire. Un détail qui saute immédiatement aux yeux est la manière
dont sont rendues les images (2) et (3), reconstituées à partir
de trames qui n'appartiennent pas à la même image d'origine. Ce
sont elles qui sont à l'origine des défauts d'entrelacement de
l'image, et sont extrêmement visibles sur les dispositifs d'affichage
dits progressifs.
2:3 Pulldown NTSC :
Cette méthode agit exactement de la même manière que le 3:2
pulldown, à la différence que c'est la première image qui
est décomposée en deux trames, et la suivante en trois. Il en
résulte que les images entrelacées obtenues sont les (3) et
(4).
2:2 Pulldown PAL :
Dans le cas du PAL, il s'agit de convertir une source
vidéo à 24 images par seconde en un format de 25 images par
seconde entrelacées. Dans la mesure où la différence des formats
ne se joue qu'à une image près, la méthode se contente d'accélérer
la source vidéo pour caler sa vitesse de défilement d'image
exactement sur celle du standard PAL. La vidéo finale est donc
diffusée avec une vitesse supérieure d'environ 4% par rapport
à la version cinéma, mais l'avantage est qu'il n'y a aucune
image entrelacée qui s'insère durant le processus du pulldown.
En effet, chaque image est décomposée en deux trames, l'une
composée des lignes impaires et l'autre des lignes paires. Le
téléviseur recompose les trames deux à deux et affiche l'image
d'origine.
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S |
SECAM
(SÉquentiel Couleur À Mémoire) |
Ce standard voit le jour au début des
années 1960 et s'implante en France. Le SECAM emploie la
même bande passante que le PAL, mais transmet de manière
séquentielle les signaux de chrominance et les met en mémoire
afin de pouvoir disposer des informations de couleur à
chaque balayage de ligne. Ce procédé permet d'atteindre
une très grande stabilité de l'image, la fidélité
des couleurs et une absence complète d'interférences
entre les divers signaux. Il affiche 625 lignes horizontales et
50 trames par seconde, une trame étant un ensemble de lignes
paires ou impaires, résultant en une image complète
entrelacée toutes les 1/25 de seconde. Il ne permet la
réception du son stéréo qu'avec une sous
porteuse supplémentaire (procédé NICAM).
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Seinen
Manga |
Genre destiné à un public masculin
de 18 à 25 ans approximativement, car beaucoup continuent
à les lire jusqu'à 30 ou 40 ans. Ses thèmes
sont d'habitude la politique et les affaires.
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Shojo |
Signifie jeune fille. Ce terme est employé
pour les mangas et animes qui sont destinés aux filles.
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Shônen |
Signifie jeune garçon. Ce terme est
employé pour les mangas et animes qui sont destinés
aux garçons.
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Shônen
Ai |
Littéralement "Amour de garçons".
Traite des relations homosexuelles entre garçons. De manière
générale, c'est moins sexuellement explicite que
le Yaoi.
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Shota
Kon |
Sous genre du Yaoi dans lequel les relations
sont entre garçons ou entre adultes et garçons.
Semblable à Loli Kon.
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Siyohin |
Histoires Yaoi faites par des débutants
ou des professionnels qui ont pour protagonistes des enfants d'autres
mangas qui ne sont pas du genre Yaoi.
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Softsub |
Sous-titres amovibles (pas toujours), qui utilisent
les spécification techniques du format DVD.
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Super Deformed
(SD) |
Version très caricaturale des héros
de série représentés avec une grosse tête
et un tout petit corps.
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Super
Panavision 70 2.20:1 |
Le Super Panavision 70 (appelé aussi
Panavision 70, Super Panavision, Panavision...) a été
développé pour contrer le Todd-A0 (à ratio
variable). Il n'est plus utilisé mais quelques chef-d'œuvres
comme My Fair Lady et Exodus ont été tournés
dans ce format.
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T |
Teaser |
Petite bande annonce de l'épisode suivant
que l'on retrouve à la fin de l'épisode.
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Telecine
(Televised Cinema) |
C'est un appareil servant à convertir
tout le contenu d'un film en 24 images par seconde dans un format
vidéo directement exploitable par les téléviseurs,
notamment en entrelaçant les images et en corrigeant le
nombre d'images à la seconde pour qu'il corresponde à
celui des téléviseurs. Voir aussi Pulldown.
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Téléviseur
16:9 |
Le format 16:9 est conçu pour visionner
les films à la TV. C'est l'écran des cinéphiles.
Son Ratio, 1,77:1 est très proche du 1,85:1 et permet donc
une anamorphose légère (et quasi imperceptible).
Le choix du 16:9 tient aussi au fait qu'il s'agit d'un multiple
de 4:3 (4:3x4:3 = 16:9).
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Téléviseur
4:3 |
Le format 4:3 est le standard TV pour toutes
les émissions hors cinéma. Il est aussi utilisé
en photographie 35mm.
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THX |
T.H.X. est une marque déposée
de Lucasfilm qui concerne des normes à appliquer au cinéma,
aussi bien en salles que chez soi. Les matériels et les
programmes portant la mention THX répondent à un
cahier des charges très rigoureux. Au niveau du soft (DVD
ou Laserdics), cela concerne toutes les étapes de la fabrication,
de la réalisation du master à la duplication. En
ce qui concerne les appareils, les impératifs diffèrent
suivant le type de matériel.
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U |
Underscan |
Ce phénomène est à opposer
à l'overscan, qui se manifeste par l'apparition de bords
noirs tout autour de l'image car cette dernière n'a pas
les dimensions suffisantes pour atteindre le cadre de l'écran.
Cette fonction, présente sur certains appareils, peut servir
à visionner l'intégralité de l'image en éliminant
le masquage de ses bords dû à l'overscan.
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Y |
Yaoi |
Genre apparu en 1992. Traite d'une tendance
du dôjinshi féminin dans lequel les protagonistes
sont des jeunes gens de sexe masculin qui entretiennent des relations homosexuelles,
souvent sexuellement explicites. Le mot Yaoi vient des termes "yama-nashi",
"ochi-nashi", "imi-nashi", que l'on peut traduire
par "sans dénouement", "sans raisonnement",
"sans sens", indiquant qu'on traite seulement d'un jeu
d'idées absurdes entre amies, pour passer le temps. Actuellement,
sont publiées des séries régulières
de yaoi, dans ce qui est devenu un sous-genre du shôjo manga.
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